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Théodore de Banville (1823-1891)
Théodore de Banville 1823-1891 Ses vers éblouissent par la virtuosité acrobatique, mais toute pensée en est absente : les Cariatides (1842), les Stalactites (1846), Odes funambulesques (1857), Idylles parisiennes (1871), etc. D'une dizaine de pièces de théâtre, seuls sont restés Gringoire (1866) et Socrate et sa femme (1885). Son Petit Traité de versification française n'est plus guère cité que pour son chapitre “ masticatoire ” sur les licences poétiques.
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Commentez ce jugement de Théodore de Banville sur Beaudelaire: Il a accepté tout l'homme moderne avec ses défaillances, avec sa grâce maladive, avec ses aspirations impuissantes ?
INTRODUCTION Le succès persistant des Fleurs du Mal démontre bien que l'on peut voir en Baudelaire le précurseur des poètescontemporains. Théodore de Banville, percevant chez lui ces accents nouveaux, pouvait dire sur sa tombe : « 11 aaccepté tout l'homme moderne, avec ses défaillances, avec sa grâce maladive, avec ses aspirations impuissantes ».De fait, ce jugement met en lumière le ton souvent désespéré de l'œuvre, source d'une esthétique nouvelle, maisaussi les tentatives de dépassement dont...
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Banville, Théodore de Chabrier, Emmanuel Massenet, Jules Saint-Saëns, Camille
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BANVILLE, Théodore de (1823-1891)Ses vers éblouissent par la virtuosité acrobatique, mais toute pensée en est absente : les Cariatides (1842), les Stalactites (1846), Odes funambulesques (1857), Idylles parisiennes (1871), etc.
BANVILLE, Théodore de (1823-1891) Ses vers éblouissent par la virtuosité acrobatique, mais toute pensée en est absente : les Cariatides (1842), les Stalactites (1846), Odes funambulesques (1857), Idylles parisiennes (1871), etc. D’une dizaine de pièces de théâtre, seuls sont restés Gringoire (1866) et Socrate et sa femme (1885).