12 résultats pour "édifier"
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Commentez et discutez ce jugement d'André Gide : « J'ai écrit, et je suis prêt à récrire encore, ceci qui me paraît d'une évidente vérité : « C'est avec les beaux « sentiments qu'on fait de la mauvaise littérature. » Je n'ai jamais dit ni pensé qu'on ne faisait de la bonne littérature qu'avec les mauvais sentiments. J'aurais aussi bien pu écrire que les meilleures intentions font souvent les pires œuvres d'art et que l'artiste risque de dégrader son art à le vouloir édifiant » (Journal
SUJET Commentez et discutez ce jugement d'André Gide : « J'ai écrit, et je suis prêt à récrire encore, ceci'qui me paraît d'une évidente vérité : « C'est avec les beaux « sentiments qu'on fait de la mauvaise littérature. » Je n'ai jamais dit ni pensé qu'on ne faisait de la bonne littérature qu'avec les mauvais sentiments. J'aurais aussi bien pu écrire que les meilleures intentions font souvent les pires œuvres d'art et que l'artiste risque de dégrad...
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« il fallait, dit un critique contemporain, édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme »
Introduction. Quand on considère l'oeuvre du XVIIIe siècle dans son ensemble, elle apparaît comme diverse, chaotique, voire contradictoire. Il semble presque impossible de lui trouver une unité, autrement dit de définir l'esprit du « siècle philosophique ». N'y aurait-il pas moyen, en se plaçant à la source créatrice de ses exigences intellectuelles, de voir cette unité, cet esprit dans une volonté de reconstruire les valeurs humaines, sans jamais les rattacher à quelque chose qui les dépasserai...
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Un critique contemporain définit l'esprit du 18e siècle en ces termes: Il fallait édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme. Dans quelle mesure et avec quelles nuances ce jugement se trouve-t-il vérifié par les oeuvres du 18e siècle que vous connaissez ?
Introduction. Quand on considère l'oeuvre du XVIIIe siècle dans son ensemble, elle apparaît comme diverse, chaotique, voirecontradictoire. Il semble presque impossible de lui trouver une unité, autrement dit de définir l'esprit du « sièclephilosophique ». N'y aurait-il pas moyen, en se plaçant à la source créatrice de ses exigences intellectuelles, de voircette unité, cet esprit dans une volonté de reconstruire les valeurs humaines, sans jamais les rattacher à quelquechose qui les dépasse...
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Johann Gottfried Herder1744-1803La vie de Johann Gottfried Herder est un exemple édifiant de la vertu récompensée.
Johann Gottfried Herder 1744-1803 La vie de Johann Gottfried Herder est un exemple édifiant de la vertu récompensée. Né en Prusse orientale, il dut son éducation à des protecteurs qu'il attendrissait. A Königsberg, il suivit les cours de Kant. Prédicateur, instituteur, précepteur, il émeut, il dirige, il élève les âmes. En 1775, on l'appelle à Göttingen pour une chaire : il arrive pour apprendre que sa nomination n'était pas confirmée et que son sort dépendait d'une conférence probatoire. Mais à...
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Santiago Ramón y Cajal1852-1934Ramón y Cajal édifia sur des faits observés et sut défendre la doctrine du neurone : là est sonoeuvre.
Santiago Ramón y Cajal 1852-1934 Ramón y Cajal édifia sur des faits observés et sut défendre la doctrine du neurone : là est son œ uvre. His et Forel (1886-1887) avaient lancé l'hypothèse de la libre terminaison des cylindres-axes et des dendrites, face au réticularisme de Gerlach et Golgi. Ramón y Cajal, à partir de 1888, démontra l'exactitude de cette hypothèse et affirma énergiquement que les cellules nerveuses ne se rattachent pas entre elles par continuité, mais par contiguïté. Waldeyer (1...
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Dans la préface à l'Emile, J.J Rousseau écrivait : « la littérature et le savoir de notre siècle tendent beaucoup plus à détruire qu'à édifier" Cette réflexion vous paraît-elle s'appliquer aux textes du XVIIIe que vous connaissez ?
Dans la préface à l' Emile , J.J Rousseau écrivait : « la littérature et le savoir de notre siècle tendent beaucoup plus à détruire qu'à édifier" Cette réflexion vous paraît-elle s'appliquer aux textes du XVIIIe que vous connaissez ? XVIIIe siècle => combats et actions des philosophes des Lumières. I- Une manière d’écrire La littérature s’engage dans les grandes causes. Voltaire : « Un livre n’est excusable qu’autant qu’il apprend quelque chose ». A- Plaire et distraire son lectorat « Il o...
- La littérature et le savoir de notre siècle tendent beaucoup plus à détruire qu'à édifier affirme J.J. Rousseau dans la préface de son oeuvre L'Emile. Vous vous interrogerez sur la portée de cette affirmation.
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« La littérature et le savoir de notre siècle tendent beaucoup plus à détruire qu'à édifier » affirme J.J. Rousseau dans la préface de son oeuvre L'Emile. Vous vous interrogerez sur la portée de cette affirmation.
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Epictète par Victor GoldschmidtMaître de Conférence à la Faculté des Lettres de Rennes Le stoïcisme antique s'achève sur le contraste édifiant entre Epictète etMarc-Aurèle : l'esclave phrygien et le maître de l'Empire ont communiédans la même doctrine.
Epictète
- Un critique contemporain définit l'esprit du XVIIe siècle en ces termes : « Il fallait édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme. » Dans quelle mesure et avec quelles nuances ce jugement se trouve-t-il vérifié par les œuvres du XVIIIe siècle que vous connaissez?
- Parlant du monde et de ses personnages, Albert Camus écrit dans l'Homme révolté : Les héros ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Leur univers n'est ni plus beau, ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est jamais de si bouleversant héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leurs passions. Vous expliciterez et illustrerez ce point de vue à partir de vos lectures romanesques et vous le discuterez si cela vous semble
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Parlant du monde romanesque et de ses personnages, Albert Camus écrit dans L'Homme révolté : les personnages ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Leur univers n'est ni plus beau ni plus édifiant que le notre. Mais eux du moins,courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leur passion. Commentez. Objets d'étude (extraits) : La Princesse de Clèves de La Fayette, Histoire du Chevalier Des Grieux et de
Analyse du sujet et problématisation :Ce sujet porte sur le roman et plus principalement sur les héros de roman.La citation de Camus envisage le héros romanesque comme semblable à tout être humain, ce que désigne l'emploi du possessif de la première personne du pluriel. Le personnage romanesque doit, selon Camus, être construit sur le modèle humain : il doit s'exprimer comme un humain, dans une langue commune à tous, vivre dans un mondeproche du monde réel et effectuer des actions de taille...