Databac

Yukio Mishima1925-1970Fils d'un haut fonctionnaire, Mishima fait ses études à la prestigieuse École des Pairs deTokyo, où il manifeste de bonnes dispositions littéraires.

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Yukio Mishima1925-1970Fils d'un haut fonctionnaire, Mishima fait ses études à la prestigieuse École des Pairs deTokyo, où il manifeste de bonnes dispositions littéraires. Ce document contient 239 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« Yukio Mishima 1925-1970 Fils d'un haut fonctionnaire, Mishima fait ses études à la prestigieuse École des Pairs de Tokyo, où il manifeste de bonnes dispositions littéraires.

Écarté de l'armée pour raison de santé, il est affecté durant la guerre dans une usine, puis s'inscrit en droit à l'université et entre au ministère des Finances.

Auteur dans l'âme, il consacre ses nuits à l'écriture et publie en 1949 un premier roman en partie autobiographique, Confession d'un masque, dans lequel il avoue son homosexualité.

Le livre obtient un succès retentissant qui lui permet de quitter la fonction publique.

Tout au long de sa vie, Mishima ne parvient pas à concilier les valeurs du Japon moderne, largement occidentalisé, avec son amour idéalisé pour les vertus traditionnelles des samourais.

Ce conflit apparaît dans son roman Le soleil et l'acier, et dans Patriotisme, nouvelle préfigurant sa propre mort, qu'il adaptera à l'écran.

S'il condamne fermement l'attrait des Japonais pour le modernisme, il mène en privé une vie à l'occidentale.

Passionné d'arts martiaux, il fonde en 1968 une armée privée, la Société du bouclier, destinée à soutenir les forces armées en cas de conflit.

En 1970, ce militariste convaincu tente à l'aide de quatre de ses hommes de s'emparer du quartier général militaire de Tokyo.

Après une allocution virulente contre le défaitisme japonais de l'après-guerre, il se donne la mort de façon spectaculaire devant l'assemblée de soldats, en s'éventrant dans la pure tradition du hara-kiri.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles