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VICTOR HUGO LES CONTEMPLATIONS, "ELLE ÉTAIT DÉCHAUSSÉE, ELLE ÉTAIT DÉCOIFFÉE “

Publié le 03/04/2022

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« VICTOR HUGO LES CONTEMPLATIONS, "ELLE ÉTAIT DÉCHAUSSÉE, ELLE ÉTAIT DÉCOIFFÉE “ 1)- LE PLAN DE LA COMMENTAIRE COMPOSÉ I)- LA MISE EN SCÈNE DE LA COUPE DE FOUDRE → le coup de foudre de la poète → le coup de foudre de la jeune fille → une mystérieuse jeune fille II)- LE LIEUX DE LA SCÉNARIO AMOUREUSE → la femme et Les signes d’invitation du jeune homme → la description de la nature est érotosie III)- LES REGARDS → le jeu des regards et le silence de la jeune fille 2)- RÉDIGER LE COMMENTAIRE Le poème « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » fait partie du livre 1ier de la partie I du recueil Les Contemplations de Victor Hugo.

L’écriture de ce poème est antérieure à la mort de sa fille Léopoldine, moment qui marque la césure entre les deux livres du recueil.

C'est un des rares poèmes du recueil où la douleur n'est pas témoignée.

Le poème de quatre strophes en alexandrins, dont les rimes sont croisées, évoque un souvenir de jeunesse : le bonheur d’une rencontre amoureuse éphémère dans la nature.

Comment la rencontre amoureuse est-elle mise en scène? Au premier plan nous etudions la mise en scen de la coup de foudre entre le poete et l jeunne femme et susit au secon plan nous montrons le lieu ou se passe la scenarion amoureuse.A la fin nnous analyson les regards de chauqe personnages. Le coup de foudre du poète dans le premier quatrain.

Celui ci nous donne une image éblouissante de la femme.

En effet, la fille est désignée par l'esthétique du blason.

Ça veut dire qu'il fait un focus sur une partie du corps.

Et si c'est ses cheveux et ses pieds, on a d'abord un parallélisme dans le V.1 « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » mais aussi le rythme ternaire.

De plus, l'émotion du poète devient très grande à cause de deux raisons.

D'abord, le rôle du hasard.

Ça le rend un coup de foudre au premier regard.

Le jeu des temps imparfait d'arrière-plan « Moi qui passait par là ».

Et le passé simple de l'action soudaine, « je crus » ici montre l'effet de surprise, le verbe croire montre que c'est un choc inattendu.

La deuxième raison, c'est le désir irrépressible.

Il assimile la jeune fille à une "fée"c'est donc une métaphore hyperbolique qui montre qu'il est admiratif.

Enfin, au V.4 “veux-tu t’en venir dans les champs?” Ici le poète nous montre la mise en relief par le discours direct : c'est donc une interrogation effet mystique, amplifie la force et l'audace de sa proposition. Dans le deuxième quatrain, c'est le coup de foudre de la jeune fille.

En effet l'expression du désir se fait par le regard, d'abord, par la litote « regarda » « regard » au V.5 mais aussi par l'épithète « suprême », qui est une hyperbole qui signifie extraordinaire.

De plus, le présent de vérité générale « reste » et « triomphons » et le pronom de la première personne du pluriel “nous” affirme encore une fois le but de Victor Hugo, qui est d'atteindre l'universalité.

Ces anaphores sont et « je lui dis » on se rappelle qu'il a déjà dit aux vers 4 mais encore « veux tu » qui répéter trois fois au V.4, au V.7 et au V.8.

Cependant le sens devient de plus en plus explicite par le passage du singulier au pluriel.

Ainsi, le décor est de plus en plus suggestif sous les arbres profonds. Après on a étudié le coup de foudre de la jeune fille et on a compris qu’elle est mystérieuse.

En effet,le pronom personnel de troisième personne, répété en tête des trois premiers quatrains, suggère une femme inconnue, rencontrée au hasard d'une promenade; cette identité floue introduit un élément de mystère accentué par le mot "fée" (V.3).

De plus, l’évocation très stylisée d’un décor champêtre au bord d’un ruisseau.

ex : « jonc » vers 2, « rive » vers 9, « eau » vers 13.

Enfin, elle croise le regard de l'homme sans aucune trace de timidité, l'adjectif "suprême" indique même une forme de domination. »

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