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Une société juste peut-elle s'accommoder d'inégalité ?

Publié le 15/05/2020

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« Demande d'échange de corrigé de Belconde Olivier ( [email protected] ). Sujet déposé : Une société juste peut-elle s'accommoder d'inégalité ? Une société est une association d'individus qui constitue le milieu où chacun s'intègre.

Toute espèce vivante estplus ou moins sociale alors que les animaux sont gouvernés par l'instinct tandis que les sociétés humaines sontorganisées selon des institutions mobiles et véhiculent une culture.

Une société est donc un ensemble de personnesqui sont différent de l'un à l'autre.

Chaque individu n'a pas la même culture, le même métier, le même niveaud'instruction ou encore le même niveau de vie.

La société d'aujourd'hui se veut être une société où tous les hommessont égaux depuis la déclaration des droits de l'homme de 1789 puis en 1948 la Déclaration universelle des droits del'homme.

Malgré que tout les hommes soit égaux dans une société il y a les puissants qui gouvernent, ce qui ont lepouvoir que le peuple lui a donné.

Une société c'est aussi ça : des personnes qui ont le pouvoir et qui gouverne surle peuple mais ce dernier n'est pas un esclave de ceux qui ont le pouvoir (dans une démocratie tout du moins), lepeuple peut s'indigner, se révolter ensemble.

Le peuple a besoin de quelqu'un qui gouverne et vice versa, le peupleveut être en sécurité.

Une société est une association de personnes unies par certains intérêts communs sousl'égide de règles de conduite.

Chaque individu, afin de bénéficier des avantages de la collectivité, est sans nul douteprêt à accepter de limiter ou perdre certains de ses pouvoirs individuels.

Toutefois, la coopération sociale produitcertaines richesses qu'il faudra redistribuer.

Ainsi, l'ordre social, fondé sur un intérêt commun, ne peut empêchercependant les conflits d'intérêts entre les particuliers.

Il faudra donc dégager des principes équitables permettantune redistribution juste des différentes richesses et avantages nés de la coopération sociale.

Une société se veutdonc une société où tous les hommes sont égaux mais l'égalité n'est pas l'identité.

Comment alors penser en mêmetemps l'égalité et la différence? Ce qui revient à se demander s'il est possible d'organiser une société autour de cesdeux valeurs que sont la liberté et l'égalité.

Alors, une société juste ne sera-t-elle pas condamnée à s'accommoderde certaines formes d'inégalité? Nous verrons si une société juste peut s'accommoder d'inégalités puis si elle peut nepas s'accommoder d'inégalité. Dans une société, il n y a que des êtres différents en tout point de vue et doit parfois s'accommoder d'inégalité.Une société juste ne peut pas être une société contre nature.

Dans une société juste, tous devraient être égaux,hommes, femmes et enfants, et vivre selon leur devoir moral.

Les gens d'une société doivent suivre leurs devoirsmoraux communs pour être digne d'être heureux.

Il est essentiel que chaque personne d'une société ne se sentepas soumis par qui que se soit, cela même si il y aurait des personnes choisies pour gouverner.

Ces mêmespersonnes seront soumises aux mêmes lois que tous et sont aussi punis avec la même sévérité que tout autrescontrevenant.

Cependant dans une telle société juste, aucune personne de devrait ressentir de besoin de s'écarterdes lois auxquelles il est soumis.

Au peut donc déclarer logiquement que dans une telle société juste, le crimen'existerais pas et que personne n'aurais besoin d'être hors la loi.

Ainsi, chaque individu de la société aurait lesmêmes richesses que les autres membres de la société.

Par le fait même, il n'aurait pas le problème de devoiraccepter de vivre avec le faite qu'il y aurait des gens bien plus riche que lui.

Le capital qui sera dépenser parchacun des individus sur les produits et services de la société accumuler pour ensuite être retrancher premièrementen deux parties égal, bien entendu, dont l'une des parties constituera les richesse de la société et l'autre seraréparties a par égales vers touts les foyer de la société.

La partie qui constitue les richesses de la société servirade moyen pour payer tout ce qui provient de l'extérieur.

En temps de dettes graves, les individus seront soumis àperte de revenus égal pour permettre aux richesses de grimper.

Bref, dans cette société juste dans le meilleurs desmondes, tous serait égaux.

Sans exceptions.

Mais voila ce type de société n'existe pas, est utopique et n'existerasans doute jamais.

Une société juste ne peut donc aboutir car elle est rempli d'inégalité crée uniquement par leshommes.Ensuite le principe d'égalité ne peut pas fonder la justice, pour certains comme les libéraux, la justice ne peut naitreque du libre jeu des intérêts privés : toute intervention extérieure ne peut manquer d'être tyrannique.

Ou encorepour les communautariens, un homme qui n'est défini ni par le sexe, l'âge, la culture, le milieu social ou encorel'éducation n'existe pas ; l'universel est une idée sans contenu mais accueillant toutes les dérives despotiques.

Lajustice consiste à garantir à chaque communauté le libre exercice de ses usages et coutumes.

Il n'y à pas un idéaldu juste qui serait valide pour tous.

Selon Michael Walzer, la justice ou l'égalité générale mais différentes sphères dejustice largement autonomes les unes par rapport aux autres.

L es types d'égalité ne sont équivalents niobjectivement ni subjectivement : par exemple, l'égalité des chances, de traitements, de satisfactions ne coïncidepas et chacune des trois joue souvent contre les deux autres.

Dans la justice il n'y a pas de distribution égales detout les biens mais plus pour l'individualité.

Le principe d'égalité ne peut donc pas fonder la justice.Les inégalités dans une société peuvent aussi être justes La « passion égalitaire » dont parle Tocqueville sembleinséparable de la démocratie.

Elle trouve son expression politique dans le communisme et le socialisme du XIXe siècleou du début du XXe siècle : le collectivisme a pour but d'instaurer une égalité aussi grande possible entre lesmembres de la société.

L'État du bien-être (le Welfare State) est une autre expression de cette tendanceégalitariste : on admet l'inégalité des richesses dès lors que l'État peut intervenir après coup pour les niveler par laredistribution.

Mais la « passion égalitaire » ne se limite pas à la richesse matérielle.

Elle suppose aussi le nivellementde toutes les formes de distinctions sociales, largement favorisée par le développement du marché et de l'économiecapitaliste.

Les marques extérieures d'inégalité sont de plus en plus refusées : uniformisation des vêtements,abandon des marques honorifiques (« Docteur », « Maître », etc.), généralisation de l'usage des prénoms pourinterpeller les personnes, nivellement des registres de langage, etc.

Les distinctions concernant le goût esthétique. »

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