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une fille nommé béluga

Publié le 06/10/2021

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« 15 Janvier 2019 Audrey-Anne Gagnon Critique littéraire Une fille nommée Béluga En 2014, ce livre Une fille nommée Béluga a été écrit par l’écrivain québécois Robert Soulières.

Cet écrivain a débuté en tant qu’agent d’information pour une commission scolaire.

Ensuite en 1987, devenir directeur des éditions puis vice-président aux éditions Pierre Tisseyre, pour les secteurs adultes et jeunesse.

Il y publie 250 romans pour la jeunesse et une cinquantaine d’ouvrages pour les adultes.

Neuf ans plus tard, en 1996, il décide de fonder sa propre maison d’édition : Soulières éditeur, qui compte 90 ouvrages en 2004.

Ce texte rempli de suspense psychologique a donc été publié par sa propre maison d’édition dont plusieurs autres livres par exemple, Un cadavre stupéfiant et le Casse-tête chinois qui ont remporté des prix exceptionnels dont l’un a remporté le Grand prix littéraire de la Montérégie.

Une fille nommée Béluga est un livre qui est recommandé pour toutes personnes qui apprécient la qualité du réalisme vécu chez les jeunes et du vocabulaire employé dans l’histoire.

En résumé, il s’agit d’une jeune fille du nom de Bélinda qui par son entourage est surnommée Béluga.

Très souriante et enjouée, cette fille cache à l’intérieur d’elle une profonde dépression due à son complexe d’être différente côté physique.

Elle a 17 ans et entreprends sa dernière année du secondaire à l’école La Passerelle accompagner de sa meilleure amie Margot.

Un jour, Bélinda décide sur l’heure du diner à la cafétéria de s’ouvrir à Margot de sa petite jalousie et de l’extrême mal de vivre dans sa peau.

Elle lui confie qu’elle voudrait être comme plusieurs filles du genre maigre ayant une belle poitrine et facile d’approche auprès des beaux garçons et que depuis peu son surnom lui tape sur les nerfs, à même la blessée.

Margot essaie de la réconforter et de lui dire tous les compliments possibles ainsi que des solutions, mais pour Bélinda cela ne change rien, elle croit qu’aucun homme l’aimera dû à sa grosseur, car selon elle les hommes ne cherchent que la perfection.

Idées noires lors d’une soirée, Bélinda n’a aucune idée de comment va finir sa soirée.

Bien ou encore dans la dépression.. »

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