Databac

Thème : l'image du Christ dans la littérature. Romano Guardini affirme que le Prince Mychkine est «un symbole du Christ, mais où rien de divin ne se trouve mimé par le personnage». Pour lui, «l'absence de ce côté parachève le symbole et lui donne tout son sens». Ce jugement qui concerne l’idiot de Dostoïevski peut-il être également appliqué à Nazarin de Galdos et au Christ recrucifié de Kazantzaki ?

Publié le 30/06/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Thème : l'image du Christ dans la littérature. Romano Guardini affirme que le Prince Mychkine est «un symbole du Christ, mais où rien de divin ne se trouve mimé par le personnage». Pour lui, «l'absence de ce côté parachève le symbole et lui donne tout son sens». Ce jugement qui concerne l’idiot de Dostoïevski peut-il être également appliqué à Nazarin de Galdos et au Christ recrucifié de Kazantzaki ?. Ce document contient 2223 mots soit 4 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.

« Photis de poursuivre «l'oiseau jaune» pour sortir du tragique étemel retour où le Christ est toujours recrucifié. - Relation évidente de chaque personnage principal avec le Christ. Approfondissement et exemples - Dostoïevski à sa nièce Sonia : «La pensée principale est de représenter une nature d'homme absolument belle... Il n'existe qu'une seule figure absolument belle, celle du Christ». Dans les Carnets : «Le prince, le Christ». - Kazantzaki : Manolios =Emmanuel (Dieu avec nous). - Galdos : Nazarin = Jésus le Nazaréen. - Ressemblance physique avec Christ : Prince («chevelure blonde», «petite barbiche», «grands yeux bleus» ; Nastassia a l'impression d'avoir «vue sa physionomie quelque part», à cause des icônes). Manolios («yeux bleus», «barbiche blonde» ; père Grigoris : «c'est ainsi que l'on dépeint le Christ»). - Attitudes christiques symboliques Approfondissement et exemples - Pécheresse pardonnée {Nazarin : Andara et Béatriz ; Le Christ recrucifié : Katerina ; l'idiot : Nastassia). - Dépossession des richesses etpartage des biens (Prince indifférent à l'argent, pas d'émotion devant son héritage ; Nazarin «rêve la pauvreté», selon le narrateur : «un ambitieux de la pauvreté») - Amour du prochain et défense des êtres faibles, et persécutés ; pardon des offenses (Prince giflé par Gania ne réplique pas. Rogojine à Gania «Tu auras honte Gania, d'avoir insulté une pareille... brebis», le narrateur surenchérit). L'offense entre dans catégories morales. Le Prince cherche grâce au pardon àcréer des , relations d'amour - Qualités christiques - Le prince semble dire et être la vérité. Evegueni Pavlovitch : «Vous êtes un homme sans égal, en ce sens que vous ne mentez pas à tous les instants, et que, peut-être même, vous ne mentez jamais». Le prince ne ...»

« Sujet de littérature com paréeThème : l'image du Christ dans la littérature.

Romano Guardini affirme que le Prince Mychkine est «un symbole du Christ, mais où rien de divin ne se trouve mimé par le personnage».

Pour lui, «l'absence de ce côté parachève le symbole et lui donne tout son s-ens».

Ce jugement qui concerne l'idiot de Dostoïevski peut-il être également appliqué à Nazarin de Galdos et au Christ recrucifié de Kazantzaki ? Analyser le sujet Trois expressions de Romano Guardini doivent attirer l'atten­ tion : �NZ>'C=* du Christ», �G8*? de divin ne se trouve mimé par le personnage», ce qui �E"G"(5bX* le symbole et lui donne tout son sens».

Deux mots méritent d'être éclairés, �NZ>'C=*_ et �E"G"(5*X*G_ Un symbole est en général un signe concret qui évoque un élément abstrait sous-entendu, une sorte de comparaison sans second terme.

C'est un moyen d'exprimer indirectement, de suggérer.

Le verbe �E"G"(5*X*G_ signifie quant à lui, conduire au dernier point de perfection, donner la dernière touche, celle qui livre enfin un ensemble accompli.

Il faut noter la manière dont Romano Guardini s'exprime.

Le critique italien souligne volontairement, grâce à un mode d'ex­ pression particulier, le passage de l'un à l'autre des trois éléments retenus en créant entre eux un rapport logique fondamental.

En effet, sa réflexion progresse par une succession de paradoxes.

Le. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles