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TARTUFFE

Publié le 06/12/2021

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TARTUFFE

Réalisation

Scénario

D'après la pièce de

Directeur de la photographie

Décors 

Costumes

Production

Durée

INTERPRÉTATION

Tartuffe

El mire

Orgon

Dorine

Le vieil homme

La gouvernante

Le petit-fils

L'HISTOIRE

 

Un vieux et riche bourgeois vit seul avec sa logeuse, une horrible mégère. Quêteuse d'héri¬tage, elle rudoie le vieillard et lui fait impudem¬ment la cour. C'est un état de fait dont se rend parfaitement compte le petit-fils qui vient de ren-trer dans la demeure sans que la gouvernante s'en aperçoive. Déguisé en producteur de spectacle il revient peu après projeter dans son cinéma ambulant, l'histoire de Tartuffe qui essaie de 


« TARTUFFE Réalisa tion Scénario ............ ..

. ... ......... ...... .... ..

.

F.W .

MU RNAU (1926) Carl MAYE R MO LIÈ R E D'api ·ès la pièce de ......... ...... ........... ... ..

.

Dir ecte ur de la ph otogra phi e ............. ... .......

.

Karl FREUND Déco rs Costumes ... ....... ............... ...........•..

Prod u ct i on ......... ..•............... ...........

Robe rt H ER LTH Wa lter R O HRI G Robert H ER LT H U .F.A.

Dur ée 84 minut es INTE RPR ÉTAT IO N Tartuffe E l mir e ...............•..........................

Emil JANN INGS Lil DAGOVE R We rner KR AUSS L ucie H OF LICH Herm ann PlCHA Rosa VALETT I André MATTON ! Orgon ............. ...... ...... ........ ..... ...

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D orin e ... ...... ..

. ... ........... .....

.. .....

..

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Le vieil h omm e La gouvernant e . ........ ......... ..... .....

. ....

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Le pe1 it-fïl s ...... .... ........... .... ............

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L'HI ST OIR E Un vieux et riche bourgeois vit seul avec sa logeuse, une horrible mégè r e.

Quêteuse d'héri­ ta ge.

elle rudoie le v ieill ard ct lui fait impud em­ ment la cour.

C'es t un état de fait dont se rend parfait em ent com pte l e petit-fils qui vie nt de re n ­ tr er dans l a demeure san s que la gouv ern ant e s'e n aperçoive.

Dégu isé en p rod ucteur d e spec tacle il r evient peu après proj et er dans so n c inéma ambul alll , l'his to ir e de Tartuffe qui essaie de frus trer son «am i ..

Orgon de ses biens et de son épo use, Elmire.

Une projection à l aquelle il con vie son grand- p ère e t la loge use .

A la fin d e la séa nce .

le jeun e ho mm e.

s tig mati sant le compor­ teme nt d e Ta rtuff e.

dén o nce l'hyp ocrisie d e la logeuse et éve ille chez le v ie illard une pri se de conscie nce.

Satisfaits du bon to ur qu'ils vie nnent de lui jouer, les deux ho mme s c hasse nt la logeuse ..

LA PETITE HI ST OIR E Dcvan1 le succès mondial de LI:' DERNll :R DES llOMMES (192 4) F W Murnau e t Car l Mayer continuè re n t à collab ore r.

L e.fi' uit de leur collab o ­ ration Jiu la réa lisation de TARTUFFE.

qui avait pour but de mellre /'accel// sur /'hypocr isie e11 tw11 que vicefonda mrnta l de la socié té cont emp ora ù1e.

Scénariste d e pl11sieurs œui•res de M11rnau.

DER GANG IN DIE NAC HT (1920).

DER BUC KL- 1./GE UND DIE TANZE RIN (1920).

SCHLOSS 1 '0GELOD ( 1921).

L'A U R ORE (1927) et QUA­ TRE DIABLES (1928).

Carl Mayer est consid éré comme le plus gra nd scé nar iste allemand des années 20.

Fils d'un homme cl' affaires ruiné.

il est n é en 1892.

Figurant, chant e ur dans des c/1œ11rs il accède très )l'une à toutes lesfor mes d'expression théâtrales de /'é p o que.

En IYl9.

il écrit avec Hans .Jan owitz ce qui deviendra le premier chef cf œuvre de /'expressio1111isme: LE CAB INE T DU DOC­ TEUR CA L/GA RI.

que réalise Robert Wiene.

Par la s11ite.

il travaill e égale m e nt avec Paul l.e11i.

pour ESCA LIER DE SERVI CE, et Lupu Pick.

LE RA IL.

LA NU!T DE LA SAINT SYLVESTRE Il accompagna Murnau dan s son exil vers Hollvwood et s'éteignit à l.ond r es le !"juillet 1944.

Adapw­ tion de la d lèbre pièce de Molière.

la ver s io n de F W M11rna11 /'éclaire cf un jour 11011vea11 :« ( .

.) Hie11 que M11rnau s'écarte réso lum ent de la cw 1 œp ­ tio11 traditio11111'/le que nous 11011s fa i. 1011s de Tar­ tuffe.

il l'exprime e n fait .fidè le m ent car après tout pour Molière co111111e pour M11mau.

Tartuffe est le mal absolu.

C'est 1111 m onstr e suffisamment inquié­ tm11 pour que la pièce de Molière qui abonde pour- "' 1a111 en n101s drô les ne soi t que de non1 seule111en1 ~ 11 11e comédie.( .

.) Murnau( .

.) a délibérément aban- ,,, donné le p oint de vue psyc ho logique, /'anal yse des :~ personnages.

Il a renoncé égale ment au côté cam é- -' die de nueurs et il n'a pas le 111oins du r11011de v isé à : recons titu er historiquement le drame de Molière.

" ~ (Jean D oma rc hi -Anthologie du cinéma consacrée E à Murnau ).

rw. »

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