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Synthese sur la mort de la Lison

Publié le 18/05/2020

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« Synthese de Français sur la mort de la Lison Nous sommes dans un extrait de la Bête humaine, de Emile Zola.

Nous assistons à la mort de la Lison, c’est un épisode clef pour l’évolution de Jacques vers sa folie meurtirère.

On peut se demander si les écrivant tendent à cacher l’imaginaire sous le réel.

Premièrement nous allons voirs le vocabulaire et les figures de style employer par Zola, dans un deuxième temps nous verrons le point de vue choisit par Zola, puis pour finir nous verrons si il y à un dépassement du réel dans ce texte. Dans un premier temps Zola emploie beaucoup de vocabulaire technique et détailler « les braises de son foyer », « les pistons », « la vapeur circuler dans ses tiroirs », « tas de fer d’acier et du cuivre », c’est une volonté de sa part d'observer fidèlement le réel et qui produit un souci du détail ce qui donne au romancier un rôle didactique On constate aussi de nombreuses personnifications de la Lison, Zola parle de sa machine comme un humain « son souffle », « sa maladie », « la voir blessé à mort, en agonie », « ses organes » .

La mort de la Lison est presque humaine grâce aux impressions de violence et de souffrance « agonie », « la pauvre Lison », « soullée de terre et de bave », « vautrée sur le dos ».

Zola propose donc une description précise de la Lison qui montre sa volonté d'observer fidèlement le réel, néanmoins la personnification de la machine s'impose largement dans cet extrait.

En effet, Zola insiste particulièrement sur le caractère fusionnel du lien que Jacques et la Lison ont noué. Deuxièmement, ont peut constater que le point de vue choisi par Zola est interne.

Ce point de vue nous permet de voir l'histoire du regard de Jacques .

Il y a une relation fusionnelle entre Jacques et sa machine.

Jacques est très attachait à la Lison, et on peut remarquer comes des sentiments qui sont liées entre la machine et Jacques qui rend dailleurs encore un trait humain à la Lison « alors, Jacques, ayant compris que la Lison n’était plus referma les yeux avec le désir lui aussi, si faible dailleurs, qu’il croyait être emporté dans le dernier petit souffle de la machine ».

En effet, Zola essayent encore de donner un trait humain à la Lison en la montrant comme la femme de Jacques mais néenmoins, on peut remarquer un dépassement du réel. Troisièmement, ont peut relevé un dépassement du réel dans cette page car le récit prent une dimension épique et fantastique en utilisant des métaphores pour comparé la Lison à une « géante », à un « colosse ». On peut conclure en disant que zola nous proposent une description parfaite de la Lison en nous décrivant un caractère fusionelle entre Jacques et la locomotive, mais que Zola tente de cacher l'imaginaire sous le réel en passant dans une dimension épique et fantastique. Lyronn Elezam 2°5. »

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