Sully-Prudhomme
Publié le 09/12/2021
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Sully-Prudhomme 1839-1907 Pseudonyme de René-François-Armand Prudhomme. De l'Académie française à quarante-deux ans. Prix Nobel en 1901. Des Épreuves (1866), des Solitudes (1869), des Vaines tendresses (1875) et du Prisme (1886), remarquables par la délicatesse et la noblesse de la pensée et de l'expression il voulut s'élever aux plus hautes spéculations de la poésie scientifique dans la Justice (1878) et le Bonheur (1888) : "l'audace était belle", mais trop de vers abstraits et didactiques refroidissent ces recueils. Les anthologies conserveront longtemps de courts poèmes comme le Gué, Un songe, le Dernier Adieu.
Sully-Prudhomme 1839-1907 Pseudonyme de René-François-Armand Prudhomme. De l'Académie française à quarante-deux ans. Prix Nobel en 1901. Des Épreuves (1866), des Solitudes (1869), des Vaines tendresses (1875) et du Prisme (1886), remarquables par la délicatesse et la noblesse de la pensée et de l'expression il voulut s'élever aux plus hautes spéculations de la poésie scientifique dans la Justice (1878) et le Bonheur (1888) : "l'audace était belle", mais trop de vers abstraits et didactiques refroidissent ces recueils. Les anthologies conserveront longtemps de courts poèmes comme le Gué, Un songe, le Dernier Adieu.
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Sully-Prudhomme1839-1907
Pseudonyme de René-François-Armand Prudhomme.
De l'Académie française à quarante-deux ans.
Prix Nobel en1901.
Des Épreuves (1866), des Solitudes (1869), des Vaines tendresses (1875) et du Prisme (1886), remarquablespar la délicatesse et la noblesse de la pensée et de l'expression il voulut s'élever aux plus hautes spéculations de lapoésie scientifique dans la Justice (1878) et le Bonheur (1888) : "l'audace était belle", mais trop de vers abstraits etdidactiques refroidissent ces recueils.
Les anthologies conserveront longtemps de courts poèmes comme le Gué, Unsonge, le Dernier Adieu..
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