Solitaire de la Réunion:Il s'est évanoui sans laisser de traces.

« 1 / 2 Solitaire de la Réunion Il s'est évanoui sans laisser de traces Tout comme le dronte, ou dodo, deve­ nu le symbole classique de l'extinction, les îles Mascareignes comptaient d'autres grands oiseaux aujourd'hui disparus: les solitaires.

On peut penser qu'il en existait deux espèces distinc­ tes, à moins que les représentants de la Réunion et ceux de l'île Rodrigue n'aient appartenu à une seule et même espèce.

Le solitaire de la Réunion avé­ cu, les premiers voyageurs l'y ont ren­ contré.

Un certain Dubois, naturalis­ te, a rédigé sur cet oiseau des notes res­ tées manuscrites; mais l'on n'a jamais retrouvé à ce jour le moindre reste osseux de l'espèce.

Tous les vestiges ayant été probablement, et depuis longtemps, enfouis sous des couches de lave ou de cendre volcanique.

Le solitaire de Rodrigue, lui, est mieux connu et plusieurs squelettes en sont conservés dans les musées.

C'était un Hauteur: 50-65 cm Poids adulte: 18 â 25 kg Embranchement: Classe: Ordre: 1 étrange volatile à peu près de la taille d'une oie, assez corpulent, muni de pattes fortes, cependant plus allongées que celles du dronte.

Le bec différait aussi profondément de celui du dron­ te, ce qui permet d'éviter une quel­ conque confusion entre ces deux oiseaux disparus.

A en croire les narra­ tions des voyageurs de l'époque, le solitaire avait une chair infiniment plus délicate que le dronte; c'est cer­ tainement ce qui a joué un rôle prédo­ minant dans sa rapide extermination.

Il s'est éteint en moins d'un siècle.

Les avis des naturalistes divergent sur la coloration des deux espèces de soli­ taires.

Pour ce qui est de l'espèce de Rodrigue, on est certain que son plu­ mage était brun, plus foncé sur le dos que sous le ventre.

Le solitaire de la Réunion aurait été blanc, le mâle en particulier, mais on n'en est pas sûr.

Biologie Inconnue Famille: Genre et espèce: Vert6br61 Olaeaux Columblformea Raphld6a Raphua aolltarlua (solitaire de la Réunion) 2 / 2. »