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Savoir aimer

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Savoir aimer Ce document contient 932 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

« Le document 5 est une miniature, datant de 1296, des coutumes de Toulouse : l'exposition au pilori.

Cette miniature est exposée à la bibliothèque nationale de France à Paris.

Ici, le coupable est « exposé » au pilori, têtes et mains entravées pendant un temps variable selon l’importance de la faute.

Le pilori est un dispositif destiné à exposer un condamné à l'infamie, réalisant ainsi une peine d’exposition publique.

L’exposition publique est une peine afflictive et infamante, plus grave que le blâme et l’amende honorable, mais moins que le fouet, la mutilation, les galères et le bannissement. Le pilori pouvait prendre diverses formes : simple poteau de bois ou colonne de pierre.

Il comporte parfois aussi une structure en lanterne pouvant contenir un homme plus ou moins debout.

Une forme plus simple du pilori était le carcan ou cangue en Extrême-Orient comme le montre le document 5, planche percée de trois trous où on coinçait la tête et les deux mains du supplicié de manière à pouvoir le promener.

On employait habituellement des chevaux, mais dans le cadre d'une torture judiciaire, on utilisait des palans, qui permettaient de doser la tension exercée sur les membres et de faire durer le supplice. L'intérêt pour le seigneur de l'exposition au pilori est de punir un crime ou un délit.

))) Le document 5 est une miniature, datant de 1296, des coutumes de Toulouse : l'exposition au pilori.

Le seigneur a le droit de justice cela fait partie du droit de ban.

Cette miniature est exposée à la bibliothèque nationale de France à Paris.

Ici, le coupable est « exposé » au pilori, têtes et mains entravées pendant un temps variable selon l’importance de la faute.

Le pilori est un dispositif destiné à exposer un condamné à l'infamie, réalisant ainsi une peine d’exposition publique.

L’exposition publique est une peine afflictive et infamante, plus grave que le blâme et l’amende honorable, mais moins que le fouet, la mutilation, les galères et le bannissement. Le pilori pouvait prendre diverses formes : simple poteau de bois ou colonne de pierre.

Il comporte parfois aussi une structure en lanterne pouvant contenir un homme plus ou moins debout.

Une forme plus simple du pilori était le carcan ou cangue en Extrême-Orient comme le montre le document 5, planche percée de trois trous où on coinçait la tête et les deux mains du supplicié de manière à pouvoir le promener.

On employait habituellement des chevaux, mais dans le cadre d'une torture judiciaire, on utilisait des palans, qui permettaient de doser la tension exercée sur les membres et de faire durer le supplice. L'intérêt pour le seigneur de l'exposition au pilori est de punir un crime ou un délit.

1))) Le document 4 est une miniature datant de vers 1310-1320.

Cette miniature est exposée à la librairie britannique à Londres.

Elle montre la corvée due au seigneur, le paysan travaille obligatoirement et gratuitement sur la réserve de son seigneur.

Ici, les paysans doivent moissonner un champs sur la réserve du seigneur.

D'autres doivent curer les fossés, empierrer les chemins ou encore rentrer du bois et du fourrage.

Puis les paysans ont d'autres obligations : § La taille qui est une taxe en échange de la protection du seigneur; § les aides, ce sont des taxes sur le transport des marchandises; § Le cens et le champart qui forment le loyer de la terre.

Pour avoir le droit de s'installer et de vivre sur la terre d'un seigneur, le paysan paie deux sortes de redevances: le cens qui est fixe et le champart, calculé en fonction de la récolte, plus celle-ci est bonne, plus le paysan paie cher. § Des banalités pour utiliser le four (qui sert à cuire le pain), le moulin (qui sert à écraser le blé pour la farine) et le pressoir (qui sert à écraser le raisin pour le vin); ce sont des outils qui appartiennent au seigneur. 2))) La personne debout tient deux bâtons dans ses mains : le premier en. »

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