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SAND, Amandine Lucie Aurore Dupin, baronne Dudevant, dite George (1er juillet 1804-8 juin 1876) Ecrivain Orpheline élevée par sa grand-mère dans le domaine familial de Nohant puis dans un couvent parisien, elle doit épouser à dix-huit ans le baron Dudevant.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : SAND, Amandine Lucie Aurore Dupin, baronne Dudevant, dite George (1er juillet 1804-8 juin 1876) Ecrivain Orpheline élevée par sa grand-mère dans le domaine familial de Nohant puis dans un couvent parisien, elle doit épouser à dix-huit ans le baron Dudevant. Ce document contient 270 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« SAND, Amandine Lucie Aurore Dupin, baronne Dudevant, dite George (1 er juillet 1804-8 juin 1876) Ecrivain Orpheline élevée par sa grand-mère dans le domaine familial de Nohant puis dans un couvent parisien, elle doit épouser à dix-huit ans le baron Dudevant.

En 1831, elle se sépare de lui et emmène à Paris ses enfants. Qu’elle ose porter des vêtements masculins et fumer le cigare ou la pipe scandalise autant que ses liaisons.

C’est à Jules Sandeau, qui l’aide à écrire son premier roman, Rose et Blanche , qu’elle doit son pseudonyme. Dès 1832 elle publie deux romans, Indiana et Valentine .

Elle ne cesse plus alors de mener une vie amoureuse qui passe alors pour scandaleuse et tumultueuse, et d’écrire.

Si sa vie sentimentale l’amène d’ Alfred de Musset à Frédéric Chopin et à d’autres, les thèmes de ses romans sont influencés par les rencontres qu’elle fait de Barbès et d’ Arago , de Lamennais encore. Le Compagnon du tour de France accuse la société, tenue pour responsable des maux humains ; Horace , paru en 1841, exalte les vertus de l’homme du peuple ; Consuelo se teinte en 1842 de religiosité.

Après avoir accueilli avec enthousiasme la révolution de 1848 , effrayée par les émeutes de juin , elle se retire à Nohant.

Elle y écrit, avec François le Champi, La Petite Fadette en 1849, des romans champêtres qui ne visent plus, selon ses propres mots, qu’à distraire l’imagination et dont La Mare au diable, parue en 1846, a été la première expression.

Sa propriété devient sous le Second Empire le lieu de rendez-vous de tous les écrivains, de Sainte-Beuve à Théophile Gautier , de Michelet à Flaubert ou Dumas fils .. »

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