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Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus

Publié le 18/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus Une foi exigeante1 873-1897Marie-Françoise-Thérèse Martin naît à l'habit. Ce document contient 450 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.


♦ « Mays en fin, la bienheureuse Therese de Jésus a si bien escrit des mouvements sacrés de la dilection, en tous les livres qu'elle a laissés, qu'on est ravi de voir tant d'éloquence en une si grande humilité, tant de fermeté d'esprit en une si grande simplicité; et sa très sçavante ignorance fait pa-roistre très ignorante la science de plusieurs gens de lettres. » Saint François de Sales. ♦ « Cette sainte que l'Eglise met presque au rang des docteurs en célébrant la sublimité de sa céleste doctrine... » Bossuet. ♦ « Quant à sainte Thérèse, vous avez raison d'en estimer les ouvrages. J'y trouvai un jour cette belle pensée, que l'âme doit concevoir les choses comme s'il n'y avoit que Dieu et elle dans le monde; ce qui donne même une réflexion considérable en philosophie, que j'ai employé utilement dans une de mes hypothèses... » Leibniz. ♦ « Ce qu’on aime de sainte Thérèse, c’est la source jaillissante, l’âme d’où surgirent ces pensées brûlantes, charmantes, parfumées et vraies. Ce qui nous attire vers elle, fussions-nous de la plus morne incuriosité religieuse, c’est le respect émerveillé d’une telle fontaine de vie et une sorte de désir de vivre parmi les anges. Nous lui demandons un alibi, une heure de paradis... » Maurice Barrés. ♦ « Sans les mystiques... et surtout sans sainte Thérèse, notre grand art réaliste, cet art si opulent et si robuste..., l’art de Cervantes et de Tirso, ne serait peut-être jamais né, ou tout au moins n’en pourrait-on expliquer avec rigueur l’évolution logique. » Blancas de los Rios.

« 1 / 2 Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus Une foi exigeante Marie- Françoise- Thérèse Martin naît à Alençon au sein d'une famille très pieu­se.

Elle est la cadette des neuf enfants de Louis Martin, un horloger-bijoutier prospère, et de Zélie Guérin.

Quatre de ses frères et sœurs sont morts avant sa naissance.

Thérèse est une enfant fragile que la perte de sa mère, en 1877, affiige profondément malgré la chaude affec­ tion dont on l'entoure.

En 1881, les Martin s'installent à Lisieux.

A l'école religieuse, Thérèse est une élève travail­ leuse mais timide et secrète.

Elle se montre déjà fervente catholique.

Sa sœur Pauline entre au carmel de Lisieux en 1882.

A 10 ans, Thérèse tombe ma­ lade; elle souffre d'hallucinations et sombre parfois dans le coma.

Elle est soudainement guérie alors qu'elle prie la Vierge.

A Noël, au retour de la messe de minuit, elle a brusquement le sentiment d'être devenue différente: «Jésus a changé mon cœur», dit-elle.

Sa piété grandit encore.

Sa sœur aînée, Marie, entre à son tour au carmel et Thérèse, à 14 ans, sollicite sa propre admission.

La supé­ rieure la juge trop jeune.

Appuyée par son père, Thérèse prie l'évêque d'inter­ céder en sa faveur, mais le prélat réserve sa réponse.

A l'occasion d'un pèlerinage à Rome, Thérèse supplie le pape de l'autoriser à se faire religieuse malgré son jeune âge.

Le souverain pontife lui répond que cela lui serait permis si telle était la volonté de Dieu.

Les portes du carmel de Lisieux s'ouvrent finalement à elle en 1888.

Elle a 15 ans.

L'année suivante, elle prend 1873-1897 1 'habit.

Elle prononce ses vœux le 8 sep­ tembre 1890.

Thérèse s'attache à obser­ ver scrupuleusement les règles du car­ mel, ce qui suscite quelque étonnement parmi ses consœurs plus laxistes.

Elle s'applique à vivre totalement selon les principes chrétiens et accomplit avec humilité toutes les tâches qu'on lui con­ fie.

En 1893, elle est nommée sous­ maîtresse des novices.

Après la mort de leur père, sa sœur Céline rejoint aussi le carmel.

Sur ordre de Pauline, devenue prieure, Thérèse écrit sa propr.e biogra­ phie.

Elle y expose ou. »

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