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Réunion (2000-2001): Perte de municipalités par la gauche

Publié le 18/09/2020

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« Réunion (2000-2001): Perte de municipalités par la gauche Avec une croissance démographique quatre fois supérieure aux autres départements français, la Réunion est minée par le chômage (42,1 % en 2000).

Pour tenter d'y remédier, de nouvelles aides à l'emploi et à la formation des jeunes ont été proposées dans la Loi d'orientation pour l'outre-mer (LOUM) 2001.

Celle-ci devait aussi proposer la création d'un second département dans le sud de l'île, à la satisfaction des élus de gauche, mais, face au risque de voir les opposants à ce projet saisir le Conseil constitutionnel, ce point a été retiré in extremis avant le vote de cette loi, au Parlement, le 15 novembre 2000.

Le Premier ministre Lionel Jospin, en visite à la Réunion fin janvier 2001, a toutefois annoncé que cette bidépartementalisation serait mise en œuvre dans l'année.

Les résultats des élections municipales de mars 2001, au cours desquelles la gauche a perdu plusieurs mairies importantes, risquaient cependant fort de le faire changer d'avis.

Au plan régional, après avoir accueilli le sommet des chefs d'État de la Commission de l'océan Indien (COI), le 4 décembre 1999, la Réunion a obtenu que le poste de secrétaire général de cette organisation revienne à l'un de ses ressortissants, Wilfrid Bertile, ancien leader de la fédération réunionnaise du Parti socialiste.. »

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