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RETZ, Jean-François Paul de Gondi, cardinal de(20 septembre 1613-24 août

Publié le 23/05/2020

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« RETZ, Jean-François Paul de Gondi, cardinal de (20 septembre 1613-24 août 1679) Homme politique Paul de Gondi étudie au collège de Clermont à Paris puis à la Sorbonne, va de duel en galanterie, mais ne peut échapper à la carrière à laquelle il est destiné, il doit monter sur le trône archiépiscopal de Paris.

Quoique sans vocation, il poursuit ses études de théologie et les réussit avec éclat. En 1643, Anne d'Autriche le nomme coadjuteur de l’archevêque de Paris.

Il reçoit les ordres.

La manière dont il cherche à se concilier ses diocésains, les largesses dont il fait preuve exaspèrent bientôt.

On le soupçonne de susciter la sédition dans le peuple de Paris.

Ce soupçon devient pour lui un défi.

Il est l’un de ceux qui préparent la journée des Barricades .

Il finance un régiment qui sert la Fronde parisienne.

Il ne cesse d’intriguer.

Grâce à ses intrigues complexes il obtient, après la proclamation de la majorité de Louis XIV , l’éloignement de Mazarin et le chapeau de cardinal.

Mais, en 1654, alors que la mort de son oncle lui permet d’accéder au trône archiépiscopal de Paris, il ne peut y monter. Depuis quinze mois il est prisonnier à Vincennes.

C’est que Mazarin est revenu.

En août 1654, il parvient à s’évader du château de Nantes. Pendant plusieurs années il fuit, d’Espagne en Italie, et à l’avènement d’Alexandre VII fuit Rome pour les Flandres.

Après la mort de Mazarin , Louis XIV reste intraitable.

Parce qu’il renonce à l’archevêché de Paris, Retz reçoit l’abbaye de Saint-Denis.

Si deux ans plus tard il obtient de revenir à Paris, c’est à la condition de ne pas paraître à la cour. Louis XIV se méfie sans cesse de celui qui a participé à la Fronde .

Peut-être est-ce au cours des conversations qu’il a avec Mme de Sévigné , avec La Rochefoucauld , qui comme lui a été frondeur, ou avec Mme de La Fayette qu’il conçoit d’écrire ses Mémoires .

Il y consacre quatre des dernières années de sa vie.. »

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