Rédaction

« Alors que le major d'homme s'occupait de quelques tâches ménagères, le gentleman propriétaire de la maison dans laquelle tous vivaient vint à se confier à ce dernier.

Il vint lui raconter sa dispute avec la femme de ménage qui venait tout juste de renvoyer.

Le gentleman - « Elle osa me dire à moi maître des lieux, le tout puissant, le dieu de cet univers que j'étais un radin, un menteur et un lâche.

Nul être ne peut m'humilier ainsi ! Je suis indigné, consterné par tant de cruauté ! Mais je ne perds pas de vu que ce n'était qu'une employée, rien de bien important, un outil comme tant d'autres.

» Le major d'homme- « Voyons Monsieur, ne l'écoutez pas ! Sans vous nous ne saurions rien ! Vous êtes trop généreux au contraire ! » Aparté Bien sur que tu es radin, tu me fais rire, tu n'achètes plus le pain depuis que tu as découvert qu'il restait celui d'il y a trois jours. Le gentleman- « Après cela elle m'a dit que de toute façon cela ne l'intéressait guerre de travaillait pour quelqu'un d'aussi laid que moi.

Je fus outré par tant de méchanceté.

Moi ! Laid ! C'est deux mots ne peuvent s'associer, je suis juste parfait, les traits de mon visage ne peuvent égaler la beauté d'Athéna ! Si je trouvais quelqu'un d’égal à ma beauté, je l'épouserais et si par hasard je tombe sur mon double je ne serai être plus heureux ! Je suis vraiment trop parfait ! J'en suis sûre elle était jalouse, jalouse de moi, de ma beauté, de mon physique de ma science, de tout mon être ! Je suis sublimissime ! Même Dieu ne peut m'égaler d'un seul de mes regards je les fusille tous... Le major d'homme- « Effectivement, maître, sir, enfin Monsieur ! Tous le monde ici présent rêverait d'avoir votre beauté, à côté de vous nous ne ressemblons à rien, nous perdons toute notre fierté, vous vous êtes beau, fort, intelligent.

Vous n'avez aucuns défauts ! C'est magique, en un regard vous m'inspirez tellement de frayeur qu'un oison serait en train de m'attaquer...

Aparté Pauvre idiot ! Ne te sens-tu pas trop arrogant, penses tu aux autres ! Je te complimente simplement pour mes propres revenus ! Infâme ! Je ne t’apprécie guerre ! Pour moi tu es laid, à part te vanter tu ne sais rien faire, me prends tu vraiment pour un minable ! Rira bien qui rira le dernier … Le gentleman- Enfin bon, je ne lui en veux pas ! Ce n'est que de la jalousie, que je comprends bien évidemment ! Elle rêverait d'être aussi parfaite que moi, même vous je le vois dans votre regard, vous me contemplez depuis quelques jours... Le major d'homme- Je ne vous le fais pas dire !! Aparté : Qui rêverait d'être vous, tous le monde vous hais pauvre idiot de 44 ans, célibataire et sans véritable amis » Le gentleman -Bon je vous apprendrais un jour, à devenir comme moi ! A quelques détails près ! Personne au monde ne m'égalera, je suis l'être le plus puissant de la terre, du monde, de l'univers... Le major d'homme- J'attendrais ce jour avec impatience Aparté Devenir comme vous est bien la dernière chose que je désire Le gentleman- Vous faites la vaisselle ? Le major d'homme- Eh oui ! Pourquoi cela ne se voit pas, je suis bien en train d'éponger quelques plateaux non ? Le gentleman – Dieu soit loué, mes belles mains n'ont jamais eu à toucher à tant de crasses.. »