questions corrigées Roubaud
Publié le 01/03/2021
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«
BEJI Ahmed 1°1
Questions ROUBEAUD :
Hommages poétiques :
1) Le titre du recueil est : « La forme d’une ville change plus vite, hélas que le cœur des
humains ».
C e titre rend hommage à l’œuvre de Charles Baudelaire, Les Fleurs du
Mal .
Son Titre fait référence à la section « Tableaux Parisiens ».
En décrivant la ville
de Paris il imite Charles Baudelaire qui lui aussi avait décrit Paris dans son recueil.
2) Roubaud se sert des mots que Queneau a lui-même utilisé dans ses poèmes avec la
forme poétique de l’Oulipo qui est un travail sur les jeux de mots et de sonorités.
« D’après Raymond Queneau » il utilise cette formule dès le premier poème, pour
signer ses écrits inspirés d’emblée de cet écrivain ; il lui dédicace des poèmes et en
écrit même à son sujet.
On remarque donc que Queneau est très présent dans le
recueil grâce à ces procédés.
3) Dans son recueil Roubaud rend hommage à plusieurs poètes tels que : Queneau, Claude Roy,
Baudelaire, il dédit des poèmes à ces poètes en leur rendant hommage dans le titre ; Il utilise
des citations à chaque fois pour les évoquer dans son recueil.
Paris, sujet poétique :
1) Roubaud décrit la ville de Paris à travers son recueil poétique ; les descriptions à travers
ses poèmes prennent la forme d’une ballade dans la ville de Paris.
On peut le voir grâce
aux titres de poème qui sont des noms de rue parisienne ou de monuments.
Roubaud
décrit la ville de façon assez détaillée et donc assez réaliste car proche de la réalité
du « terrain ».
Il donne une vision précise du lieu.
Ainsi dans son poème « Rue Etienne
Jodelle », il cite la « rue Hégésippe-Moreau », la « rue Gagnerons », « L’avenue Clichy ».
Il
dresse alors presque une carte géographique tel un guide touristique.
Il nous présente
ainsi ces lieux qu’il apprécie et qu’il semble bien connaître.
2) Roubaud nous montre la vie qui anime Paris.
On peut le constater à travers le titre du
recueil : « La forme d’une ville qui change » et son recueil évoque l’idée que Paris est une
ville qui évolue constamment, qui vit.
Pour lui, la ville de Paris grandit et évolue.
C’est ce
qui rend Paris aussi vivante et digne d’intérêt justifiant l’œuvre que lui et d’autres lui
consacre.
3) Roubaud décrit Paris de façon qui semble très banale à première vue, à travers sa
promenade de Paris.
On peut le voir dans : « Sonnet III ».
« Un jour banal d’une époque
banale », Roubaud décrit alors chaque jour sa promenade routinière dans Paris et les
rues qu’il empreinte tel le ferait un simple passant.
Selon moi, le poème qui représente le plus la banalité est « La rue ».
Roubaud décrit une rue
qu’il semble avoir connue par le passé mais qui ne reconnaît finalement plus à la fin « J’avais
la sensation du passé, d’un loin passé » l’impression de banalité est représentée par cette.
»
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