Proposition pour rendre les guerres moins coûteuses et moins longues" de "Il est naturel que la guerre " à "pour la future paix du monde" d'Ilarie Voronca

« La guerre comme outils de vengeance utilise l’ironie pour critiquer l’être humain la guerre de conquête de territoire c’est un passe d’une revue intitulé Apulée, numéro 3 écrit par Ilarie Voronca et publié en 2018. C’est un livre qui parle du sujet de la guerre et de la paix.

L’extrait tirée est un passage sur la vision de l’auteur par rapport à l’utilisation de la guerre qui nous donne une question, « la guerre est elle un outils de vengeance ou de conquête ».

Tout d’abord nous verrons la guerre utiliser comme moyen de conquête de territoire, puis l’utilisation de la guerre comme outils de vengeance et pour finir la vision de l’auteur avec la méthode qu’il utilise pour nous la montrer. Pour commencer, l’auteur nous parle de la guerre comme un moyen de conquérir des territories.

Une guerre de territoire prend toujours du temps car elle est souvent non voulut par les soldats.

« il est naturel que la guerre traîne ainsi en longueur.

Les combattants font tout ce qui est en leur pouvoir pour retarder le moment de leur rencontre.

» Le fait que la guerre se passe hors du territoire fait durer la guerre.

Pour cela les soldats doit trouver des choses à faire pour repousser ce moment. Pour cela, « ils se livrent à des violences sur des voisins plus inoffensifs, ils occupes des îles lointaines, ».

pour fuir la grande guerre ils font des guerres intermédiaires moins dangereuses.

Mais quand aucune guerre secondaire est à engager aux alentours, ils sont passifs.

« ils restent au fond de leurs forteresses et de leurs tranchées, en jouant aux cartes […].

»Ils retardent le plus possible le moment fatidique en restant chez eux, dans le camp, leur territoire et attendant passivement l’ennemi qui fait sans doutes la même choses et qui peut rendre une guerre éternel et sans aucun conflits.

Les soldats ne se battaient pas. En effet les soldats ne se battaient pas car ils n’avaient aucun intérêt à ce battre.

« Car, alors qu’autrefois, quand la guerre ne représentait aucun intérêt personnel pour les combattant, des gens essayaient par tous les moyens de se soustraire à leurs obligations militaires.

»Comme les soldats n’avais aucun motivations, aucun intérêt personnel, ils ne songeaient qu’à partir, qu’à abandonner cette guerre alors inutile pour eux. Pour suivre, pour que les soldats aient envies de faire la guerre, il faut qu’ils un intérêt personnel pour se battre.

Et l’une des meilleurs armes pour donner envie à une personne de se battre c’est la vengeances.

Cet envi de pouvoir se battre contre quelque chose ou quelqu'un que l’on n’aime pas personnellement.

« Quel est le Zambylien qui n’a pas quelque ennemi, quelque créancier ou quelque propriétaires ou quelque chef de service intraitable parmi ses citoyens ? Et quel est le Goranien qui n’a pas de quelque vengeance à assouvir conter un quelconque habitant de son pays ?» Utiliser la haine d’une personne envers quelqu’un pour la motiver.

On peu observer une anaphore rhétorique du mot « quelqu » pour nous montrer touts les personnes en qui on peut avoir une vengeance à assouvir. La ou est la plus grande différence avec une guerre de territoire qui est la suite logique de la motivation est le nombre de soldats.

Autant de vengeance à assouvir veux dire beaucoup de volontaires.

« chacun sachant qu’il aurait la possibilité de satisfaire une vengeance personnelle, tous les habitants voudraient servir sous l’uniforme.

».

La ou la guerre est souvent un enrôlement obligatoire forcé, cette guerre aurait trop de soldat.

On pourrait même interdire certaines personnes de rejoindre la guerre ce qui donnerai lieu à une course, « Il y aurait une course à qui sera le soldat. »