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prepa bac dissertation baudelaire

Publié le 25/11/2021

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« PREPA BAC DISSERTATION BAUDELAIRE Citations : - « Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage » + « Le temps mange la vie », L’Ennemi. - « J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans », Spleen. - « Souviens -toi que le temps est un joueur avide », L’Horloge. - « Ma Douleur, donne -moi la main, viens par ici », Recueillement. - « Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraites, germer mille sonnets dans le cœur des poètes », A une Dame Créole. - « Pour moi, poète chétif, ton jeune corps maladif, plein d e taches de rousseur, a sa douceur », A une Mendiante Rousse. - « J’eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme », La Géante. - « Quand, ainsi qu’un poète, il descend dans les villes, il ennoblit le sort des choses les plus viles », Le Soleil. - « Là, t out n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté », L’Invitation au Voyage. - « Les parfums, les couleurs et les sons se répondent », Confessions. Parcours : - « Elle était si belle que tu n’oserais pas l’aimer », 1909. - « Et des taches de vins bleu s et des vomissures, me lava », Le Bateau Ivre. - « Boue si méprisée, je t’aime », Ode Inachevée à la Boue. INTRODUCTION : Au mois de mai 1860, Charles Baudelaire, critique d’art puis poète du XIXe siècle, travaille à un épilogue qu’il doit terminer comm e il l’indique à son éditeur Poulet -Malassis : « Je travaille aux Fleurs du Mal .

Dans très peu de jours, vous aurez votre paquet, et ce dernier morceau ou épilogue, adressé à la ville de Paris, vous étonnera vous -même, si toutefois je le mène à bonne fin. On sait ce qu’il en est et le poète n’a jamais achevé ce qui est resté un projet dans lequel Baudelaire déclare son amour pour la ville de Paris : « Je t’aime, ô capitale infâme ! » écrit -il dans Le Spleen de Paris .

Aussi énumère -t-il au sein du recueil de nombreux termes tels « lupanar », « débauche », ou encore « vice », qu’il résume à la fin par le mot « boue » : « tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ».

Ce substantif fait donc métaphoriquement référence à tout ce qui est vil, sans valeur, voire moralement condamnable, puisqu’aux mots sont associés des connotations péjoratives, se rapportant à l’infamie, à l’abjection (que l’on songe à des expressions comme « traîner dans la boue »).

Alchimiste, le poète opère ainsi une transmutation de la boue d ’un réel fort prosaïque en un or poétique.

Etymologiquement, le poète est un créateur.

Aussi, sculpte -t-il toute sorte de matériaux, des plus nobles aux plus vils, pour les transformer par s a technique et son art.

Dans le recueil des Fleurs du mal , dont la première édition est parue en 1857, Baudelaire plonge dans la boue, comme l’indique la répétition de ce substantif tout au long du recueil. @clarasterix Hello ! Voici le travail que j ’ai pu réaliser sur le sujet ; n’hésite pas à t ’en inspirer, regarder la méthode que j ’utilise po ur la syntaxe, pour exprimer mes idées … Cependant, j ’ai beaucoup travaillé dessus : merci de le respecter, et de ne pas abuser des copier -coller par exemple ;) Merci à toi pour ta compréhension, et j ’espère que ce qui suit pourra t ’aider ou au moins t ’inspirer un peu ! Bon courage pour ton travail, et surtout : tu en es capable ;). »

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