Position de l'Allemagne sur le sujet des libertes individuelles face à l'IA, le big data et la robotique

« Le position paper / Lucas DelécolleLegrand Commission : Fixer un cadre international aux activités spatiales de demain, Allemagne. I.

Définitions des termes du sujet : Parmi tous les thèmes que nous allons aborder durant ce séjour à Dubaï qui a pour but de réunir tous les membres du MUN, j’ai comme responsabilité de représenter l’Allemagne sur ce sujet : Fixer un cadre international aux activités spatiales de demain.

Comme on le sait, notre société a fait un bond énorme en matière de nouvelles technologies, d’innovation et surtout dans l’évolution de l’étude de l’espace ces dernières années. Ces nouvelles activités spatiales commencent à s’étendre dans plusieurs pays plus particulièrement en Europe comme la France mais aussi en Allemagne dont on va s’intéresser plus en détails.

Ces activités spatiales en Allemagne bien qu’elles soient nouvelles pour tout le monde vont attirer l’esprit de beaucoup et pas seulement en Europe, mais aussi à l’échelle Internationale.  (Juste un détail) Autrefois, la France fut le monopole d’activités spatiales en Europe.

Celle-ci ne s’étend donc pas vu qu’elle est déjà pratiquée. II.

Ce que vous devez connaître sur le sujet: 1. Cadre spatio-temporel : Depuis les prouesses de la course à l’espace et de la conquête de la Lune, dans les années soixante, l’intérêt public pour le spatial est très visible.

Comme dit précédemment, avec les innovations de notre époque, les activités spatiales qui n’ont pas pour but de particulière recherche sur l’espace rentrent en jeu. 2. Acteurs engagés sur ce sujet (Etat, ONG, FTN…) : Beaucoup d’acteurs ont rejoint ce sujet d’activités spatiale internationales comme des agences spatiales nationales, le CNES pour la France, l’ASI pour l’Italie et enfin, le DLR pour l’Allemagne, d’autres acteurs publics majeurs de la politique spatiale comme l’Agence Spatiale d’européenne (l’ESA) et, l’union européenne qui ont beaucoup contribué à ces avancées. 3.

Petit point historique sur le sujet : De 1957 à 1969, la conquête spatiale est un enjeu majeur de la guerre froide.

Elle est le terrain d'une compétition technologique acharnée entre l'URSS et les États-Unis, où chacun tente de démontrer sa supériorité.

Débutant en 1957 avec Spoutnik-1, le premier satellite artificiel de l'Histoire, elle a rapidement pour enjeu les vols habités et l'envoi d'un homme sur la Lune. Des décennies après la mise en orbite des premiers satellites, au cœur de la guerre froide, malgré la banalisation des usages des techniques spatiales (GPS2, télévision et téléphone par satellite, télédétection…), l’astronautique reste, sinon mystérieuse, du moins ésotérique pour le grand public.

C’est dire aussi que les activités de ses professionnels ne sont que faiblement éclairées lors des spectaculaires opérations orchestrées par les organisations-phares du spatial (la plus connue étant bien sûr la Nasa3). 4.

Actualité la plus récente : L'espace marquerait-il une nouvelle frontière entre l'Allemagne et la France ? L’Allemagne voit d'un œil inquiet le rôle prédominant joué par la France dans la politique spatiale européenne, qu'elle considère comme une stratégie de monopole.

Elle en veut pour preuve l'éviction récente du directeur de l'ESA, Johann-Dietrich Wörner.

Seul moyen de contrecarrer les visées des grands groupes français, investir le New Space et proposer des technologies innovantes adaptées aux exigences futures du secteur spatial.  Le PDG du CNES Philippe Baptiste a signé les Accords Artemis à Washington en présence de Thomas Pesquet. La France devient le vingtième pays à rejoindre cette déclaration qui pose les bases des coopérations spatiales futures. 10 juin 2022   Ariane 6 ne décollera pas de Kourou pour son vol inaugural en 2022.

Lors d’une interview accordée à la BBC le 13 juin, le directeur général de l’ESA Josef Aschbacher a déclaré que le nouveau lanceur «volera très bientôt, au cours de l’année prochaine», donc 2023.

On notera qu’il précise qu’Ariane 6 a pour but de remplacer à la fois Ariane 5 et Soyouz (le lanceur russe n’est plus exploité depuis le Centre Spatial Guyanais suite à la guerre en Ukraine). 15 juin 2022 Pour la première fois, un lanceur intégralement conçu et fabriqué en Corée du Sud a placé avec succès un satellite sur orbite.

Le KSLV-2 a rencontré le succès après un échec en octobre 2021. 21 juin 2022 5.

Traités, accords ou résolutions ayant été écrit(e)s et/ou conférences ayant eu lieu sur le sujet : Un accord a enfin été trouvé sur le mécanisme européen de soutien à l’exploitation d’Ariane 6, successeur de la fusée Ariane 5.

Il aurait dû être voté par les états membres de l’Agence spatiale européenne (ESA) le 13 juillet dernier.

Les deux pays (France et Allemagne), qui figurent parmi les plus gros contributeurs au budget de l’ESA, sont tombés d’accord. Le traité de l’espace, signé en 1967 et ratifié en 1971 par la République fédérale de l’Allemagne est un traité international relatif à l'exploration et à l'utilisation de l'espace extra-atmosphérique.

Ce traité a permis de poser les fondements juridiques de l'exploration de l'espace à une époque où les États-Unis et l'URSS étaient tous deux lancés dans l'exploration de l'espace. fr.wikipedia.org/wiki/Traité_de_l%27espace Et treaties.un.org L’accord sur le sauvetage des astronautes, le retour des astronautes et la restitution des objets lances dans l’espace atmosphérique élaboré au sein des Nations Unies et ouvert à la signature en 1967 est entre en vigueur un an après son adoption : au début de décembre 1968 plus de 75 Etats (dont l’Allemagne) ont apposé leur signature sur ce document. TRAITÉS ET PRINCIPES DES NATIONS UNIES RELATIFS À L’ESPACE EXTRAATMOSPHÉRIQUE Et www.unoosa.org/pdf/publications/STSPACE11F.pdf La convention sur la responsabilité internationale pour les dommages causés par des objets spatiaux fut signe par la République démocratique de l’Allemagne en 1972. Les Etats parties à la présente Convention « reconnaissent la nécessité d’élaborer des règles et procédures internationales relatives à la responsabilité pour les dommages causés par des objets spatiaux et d’assurer une indemnisation totale et équitable aux victimes de ces dommages » Et « sont convaincus qu'il est de l'intérêt commun de l'humanité tout entière de favoriser l'exploration et l'utilisation de pacifiques.

» l'espace extra-atmosphérique à des fins www.fedlex.admin.ch III.

Position officielle de votre pays sur le sujet : 1.

Est-ce que votre pays a signé un texte officiel sur le sujet ? Lequel ? Oui, l’Allemagne a participé et a signé un Accord-cadre officiel du journal officiel de L’union Européenne entre la communauté européenne et l’agence spatiale européenne.

Ces pays, dont l’Allemagne, estiment qu'une coopération plus étroite entre elles développera l'utilisation pacifique de l'espace, qui joue un rôle majeur dans la cohésion et la croissance économique en Europe, et permettra, dans un cadre politique, économique, scientifique, environnemental et social plus large, de mettre les activités spatiales plus directement au service des citoyens européens; que cette coopération créera de la valeur ajoutée au profit des citoyens européens; considèrent que les parties reconnaissent disposer d'atouts complémentaires dont elles peuvent retirer un avantage mutuel et sont résolues à coopérer efficacement et pour leur bénéfice réciproque et à éviter toute activité faisant inutilement double emploi et enfin en prenant compte que la technologie spatiale est devenue une technologie unique et primordiale permettant à la Communauté de poursuivre et d'atteindre bon nombre des objectifs énoncés dans ses politiques, notamment celles de la société de l'information, des transports et de la protection de l'environnement. 2.

Quelles actions ont déjà été menées par votre pays sur le sujet ? 1985 : Lancement de la mission de recherche astronautique D1 sur la navette spatiale Challenger Le Conseil ministériel de l’ESA a ouvert la voie aux nouveaux programmes d’infrastructure de l’ESA : Columbus servira de module de recherche européen sur la Station spatiale internationale (ISS) sous la direction de l’Allemagne. 2001 : Introduction en bourse de la filiale OHB Teledata (nouveau marché, place de Francfort).

OHB prend une participation dans le capital de ORBCOMM (USA) et négocie une exclusivité de distribution du service en Europe.

Le consortium emmené par OHB System remporte le projet SAR-Lupe : conception et construction d’une constellation de 5 satellites radar pour l’armée allemande. 2002 : Regroupement de OHB System et OHB Teledata au sein du groupe OHB Technology AG (Brême), dont les actions sont cotées.

Ces deux sociétés forment les deux divisions historiques du groupe. 2004 : OHB.... »