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Porfirio Diaz

Publié le 18/05/2020

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« \HDLN0000100033 \BOLD0003500208 \LINK0021100214PE_0265T \LINK0136801373PE_1010T \LINK0198701992PE_0999T Mexique, la chute d’un dictateur Après la réélection, en 1910, du dictateur Porfirio Díaz qui a gouverné le Mexique presque sans interruption depuis 1876, de sérieux troubles se produisent dans tout le pays. Díaz au pouvoir ouvre le Mexique aux capitaux américains et anglais ce qui entraîne un grand essor économique du pays. Mais les bénéfices de la croissance ne sont pas partagés et l’autorité de Díaz se heurte à une résistance de plus en plus grande.

Un an après sa réélection, truquée, le dictateur est renversé.

Auparavant se sont produits des combats de rues sanglants entre les militaires et les adversaires du régime.

À grand-peine Díaz essaie de fuir en Espagne: en chemin, le train où se trouve l’ex-président tombe dans une embuscade tendue par les rebelles.

Mexico sombre dans le chaos de la guerre civile. Le chef de la révolution mexicaine est Francisco Madero, issu d’une famille de grands propriétaires, qui appartient aux libéraux modérés.

Il soutient le système économique établi, mais s’emploie à réformer les relations sociales et politiques. Le mouvement révolutionnaire est soutenu par de vastes parties de la population.

Des associations de partisans et de paysans appuient la lutte contre le gouvernement.

Deux chefs de bande entrent en action: Francisco Villa dit Pancho Villa, à la tête de sa redoutable division del Norte, et Emiliano Zapata qui se bat avec les paysans pauvres du Sud. Il en va de même en 1911, après l’élection de Madero comme chef d’État qui connaît un court répit en politique intérieure.

Dès 1913, un groupe réactionnaire autour du colonel Félix Díaz renverse le président et l’assassine peu de temps après.

Mais les révolutionnaires, sous la direction de Villa et de Zapata refusent de reconnaître le nouveau chef d’État Victoriano Huerta jugé dépendant des États-Unis. En 1914, les États-Unis interviennent militairement dans la guerre civile, soucieux de protéger leurs intérêts économiques.

Sur ordre du président Thomas Woodrow Wilson, des unités de marines occupent le port mexicain de Vera Cruz. Huerta réagit en patriote et ordonne le retrait immédiat sous peine de représailles militaires.

La conférence de Niagara Falls qui suit, avec la médiation de plusieurs États sud- américains, constitue une défaite diplomatique pour le président mexicain. En août 1914, le chef rebelle, Venustiano Carranza, qui a été sénateur et ministre de la Guerre, entre dans la capitale Mexico avec ses troupes révolutionnaires.

Après sa prise de pouvoir les oppositions entre les révolutionnaires se font jour et aboutissent à un conflit ouvert. Il s’ensuit de nouveaux troubles.

Carranza garde le pouvoir et, en 1915, est reconnu au plan international comme chef d’État du Mexique.

Deux ans plus tard il proclame une 1. »

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