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POE

Publié le 17/05/2020

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« L'atavisme familial N é en 1809, il perd deux ans 1* .

plus tard sa mère -que son père avait abandonnée -et est recueilli par les Allan, riches commerçants installés à Richmond, en Virginie.

Plus tard, et après cinq années pas­ sées en Angleterre (de 1815 à 1820), Poe entre à l'université, où il écrit ses premiers poèmes, inspirés par les romantiques an­ glais Byron et Shelley.

Buveur et joueur, Poe est couvert de dettes ; son père adoptif rompt avec lui ; il doit quitter l'uni­ versité (1827).

C'est à cette date qu'il publie son premier recueil de poèmes, Tamerlan et autres poèmes.

La mort de Mrs Allan, en 1829, réconcilie John Allan et Edgar Poe, qui s'inscrit à l'académie militaire de West Point.

Grâce aux fonds recueillis par les cadets de l 'acadé­ mie, Poe publie son deuxième recueil, Al Aaraaf, Tamerlan et petits poèmes (1831).

Mais ses fréquentes ivresses lui valent d'être expulsé de West Point ; c'est la rupture défini­ tive avec John Allan, qui le déshérite.

Cependant, en souvenir de ses parents adoptifs, le poète signera toujours Edgar Allan Poe.

Le souvenir de celles trop tôt disparues A quinze ans, Poe s'était épris de la mère d'un camarade, Hélène Stanard.

Mais cet amour juvénile, peut-être non partagé, était marqué par la fatalité.

Hélène perdit tragi­ quement la raison avant de mourir.

Allan Poe lui rendit hommage dans ses Stances à Hélène (1826).

Souvent ses poèmes évoqueront la perte· d'une femme aimée dont le souvenir continue longtemps à han­ ter l'âme du poète.

Ame mélanco­ lique qui, suivant de mystérieuses « correspondances », est ramenée dans les régions de la disparition et P OË ALLAN '• .

•• Autoportrait d'Edgard Poe Poe épousa sa cousine Virginia Clemm en 1836 Poe (1809-1849), qui connut de son vivant quelque succès en tant que nouvelliste, fut tôt apprécié en France .

Par Nerval d'abord, puis par Baudelaire qui traduisit, dès 1853, les récits et quelques articles.

Les Histoires extraordinaires (1856) et les Nouvelles Histoires extraordinaires (1857) ne parurent pas moins de cinq fois en vingt ans .

Mallarmé publia, non exhaustivement, les poèmes en 1888, dont la fameuse traduction du Corbeau (qui fut illustrée par Manet).

\!:\" SIH 'I I· Un poète américain peut-être plus apprécié en France qu'en son pays, un nouvelliste rénovateur du fantastique et créateur du roman policier moderne, un écrivain dont la brève existence se déroula sous le signe du malheur.

de la mémoire.

L'univers de Poe est sombre et mystérieux, parfois mor­ bide comme une vision d'éthylique.

Car l'ivresse et l'alcool mettront souvent le poète dans des circons­ tances difficiles (c'est le thème de L'Ange du Bizarre, 1844).

Lorsqu'il eut remporté le prix d'un concours littéraire avec son Manuscrit trouvé dans une bouteille (1833), Poe fut promu rédacteur du Southern Lite­ rary Messenger.

Bien qu'il ait été pour beaucoup dans le succès de ce journal, le directeur le renvoya à cause des excentricités qu'il commettait en état d'ivresse ou sous l'emprise des stupéfiants.

Les nouvelles dans les revues P oe vécut alors quelque temps chez sa tante Clemm, sa seule famille, dont il épousa la fille (sa propre cousine), Virginia Clemm.

Ils vécurent de ses travaux journalis­ tiques qui suscitèrent de sa part une volumineuse œuvre de critique littéraire et surtout des nouvelles (une cinquantaine, estimait Baudelaire ).

Ce sont des « histoires extraordi-. »

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