Peut-on tout dire ?

« Peut-on tout dire? "stép�e ÎS/20 , Malgré quelques maladresses d' exp ression (efforcez-vous d'être toujours claire et précise), les enjeux du sujet sont ' parfaitemen� saisis et la démarche très cohérente, comme en témoigne encore la synthèse finale.

C'est tout à fait - .

encourageant ! De réelles qualités de rigueur 1 Le langage sous sa forme la plus élaborée sem­ ble en effet propre à l'homme qui peut ainsi énoncer des vér�-FXE sur les choses et sur lui­ même.

Le problème de la vérité apparaît donc immédiatement En effet l'homme aurait ainsi un devoir de vérité 1 • mais toute vérité est-elle tou­ jours bonne à dire ? On peut aussi considérer le problème du langage à savoir les possibilités qu'il offre 2 : pou vons-nous ainsi toujours tout exprimer ? Ne constate-t-on pas certains défauts q,ui nous en empêchent ? Cette globalité exprimée par le « tout» peut-elle être abordée par l'homme? On tombe 3 ainsi sur le problème de la connaissance.

Ainsi les différents problèmes portent à la fois sur l'utilisateur et les moyens q .

La q,uestion « peut-on tout dire? » se pose donc tout naturellement Premièrement nous abor­ derons cette impossibilité de tout dire puis5 le - devoir de vérité devant la possibilité.

en fait 6 • de tout exprimer.

Enfin on peut se demander comment correspondre au mieux ? cet idéal de vérité sans nécessairement tout dire.

- Tout d'abord on convient q,u'il est impossible de tout dire, ni de tout exprimer.

En premier lieu.

il faut y voir un défaut du mot En effet le mot ne me permet pas d'atteindre toujours ce q,ue je voudrais signifier.

C'est pourq,uoi l'opinion prône l'ineffable_ c· est-à-dire ce q,u' on ne peut pas dire faute de mots.

Ils ne permettraient pas de 1) le passage du « pouvoir dire» au « devoir dire» est un peu abmpt. 2) Formulation à revoir. 3) Formulation maladroite. 4) Bien centré. 5) Oui : bon effort de progression et de construction. 6) En droit plutôt.. »