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Percevoir est-ce savoir ?

Publié le 22/05/2020

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« Sujet 1, Amérique du Nord, mai 2013, série L Le sujet › Dissertation : Percevoir est-ce savoir ? Le sujet Pas à pas ä Comprendre le sujet Le sens du sujet : Dans ce sujet, il s’agit de se demander si on peut poser une équivalence entre l’acte de percevoir et celui de savoir, deux actes propres à l’homme.

L’acte de percevoir désigne la saisie intuitive d’une réalité par la conscience.

On le distinguera du simple fait de sentir, plus immédiat.

L’acte de savoir désigne la possession d’une connaissance de ou sur quelque chose, qui ne prend pas nécessairement la forme d’une perception.

D’où la question posée. L’opinion commune et sa remise en question : La réponse évidente à ce sujet est affirmative, dans la mesure où la perception nous délivre bien un certain savoir quand elle se produit.

Pour savoir que ma main comporte cinq doigts, il suffit de la percevoir.

Cependant, on peut objecter à cela que bien souvent mes perceptions sont trompeuses, et ne peuvent alors être identifiées à des savoirs. ä Mobiliser ses connaissances Aperception : Mot inventé par Leibniz et repris ensuite par Kant dans la Critique de la raison pure (aperception transcendantale), pour désigner l’ acte par lequel un sujet opère un retour réflexif sur ses perceptions et en prend conscience.

Leibniz oppose ainsi l’aperception aux « petites perceptions » qui sont des perceptions inconscientes.Voir également : analVH, sQWKqVe ; sens ; sensible, intelligible. Connaissance : • Du latin cognitio, « action d’apprendre ».

Activité de l’esprit par laquelle l’homme cherche à expliquer et àcomprendre des données sensibles. • Le problème de l’origine et du fondement de la connaissance, ainsi que celui de ses limites, oppose en particulier Kant et les empiristes. Voir également : expérience ; sensible, intelligible ; sujet, objet ; théorie ; vérité. Conscience : Au sens général, la conscience est le savoir intérieur immédiatque l’homme pos- sède de ses propres pensées, sentiments et actes.

La conscience exprime ainsi notre capacité de réflexion et le pouvoir que nous avons de viser autre chose que nous-mêmes.

Son essence est selon Husserl l’« intentionnalité» .Voir également : conscience morale ; certitude ; cogito ; Descartes ; être pour soi, être en soi ; évidence ; intuition ; ipséité ; morale ; représentation ; Sartre. 7. »

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