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Paludine vivipare:Un animal qui «couve» ses petits.

Publié le 17/05/2020

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en quelque sorte La paludine vivipare doit son nom scientifique à son mode de reproduc­ tion.

Les œufs restent dans la partie extrême du conduit génital jusqu'à l'éclosion des jeunes adultes.

Toute l'évolution larvaire se fait en restant caché dans le corps de la mère.

Ces petits escargots ont, ce qui leur donne un aspect moussu, la coquille pourvue de trois rangées de poils qui disparais­ sent au cours de la croissance.

La palu­ dine fréquente les eaux un peu agitées, contrairement à une espèce voisine, V.

Contectus, que l'on trouve dans celles qui sont riches en végétation et tran­ quilles.

Elle peut rester longuement à terre, par exemple quand les vagues l'ont rejetée sur la berge ou quand une mare se dessèche.

De même, elle sup­ porte bien le froid et peut être prise dans la glace sans dommage.

Enfin, elle résiste assez bien à la pollution.

Ovovivipare Nombre de petits: 20 à 50, rarement plus Embranchement: Classe: Ordre: 1 Elle se nourrit d'algues qu'elle broute avec sa radula (lame cornée munie d'aspérités) mais mange également des détritus et du plancton; c'est pourquoi elle peut rester longtemps immobile au même endroit (par exemple pen­ dant des semaines entières).

Son odo­ rat est fin comme l'a prouvé l' expé­ rience suivante: après avoir versé dans l'aquarium où se trouvait une paludi­ ne de l'eau provenant d'un bassin où vivait un congénère, on vit le mol­ lusque se déplacer à une vitesse de plus en plus grande en cherchant avec sa partie buccale l'espace où l'odeur était la plus forte.

Au printemps, l'augmen­ tation de la luminosité influe sur la formation des œufs et quand on éclai­ re artificiellement des femelles, elles produisent davantage d'œufs que des sujets témoins, non soumis à ce traite­ ment.

Longueur adulte: atteint 4 cm Famille: Genre et espèce: Mollusques Gastropodes Monotocardes Viviparidés Viviparus viviparus (paludine vivipare) 2 / 2. »

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