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Pablo Escobar

Publié le 23/05/2020

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« Organisation de la chaine de production de Pablo Escobar (Louis) Nous allons donc commencer à nous pencher sur la chaine depuis le producteur de Colombie jusqu’au consommateur aux Etats-Unis par exemple.

Tout commence en 1979 à Medellin, une petite ville du nord-ouest de la Colombie.

S’étant lancé dans le trafic de cocaïne, alors un marché extrêmement lucratif, Escobar se dédia entièrement à la recherche de nouvelles combines pour rentabiliser au maximum son commerce sous-terrain.

Il commença à engager de plus en plus de main d’œuvres qu’il exploitait dans des petits laboratoires spécialement construits à l’abri des regards au cœur de la forêt amazonienne en Colombie pour ne pas être repéré par les cartels rivaux ou la police et les médias.

Au début composé de seulement une dizaine de salariés, l’organisation ne produisait que de quoi fournir un marché clandestin à l’échelle locale voire nationale.

Escobar dépense alors 2000 dollars dans la production d’un kilo de drogue et le revend entre 20 000 et 22 000 dollars aux trafiquants.

Voyant son trafic fleurir, Escobar eut alors l’idée folle de vouloir s’exporter au niveau international : les USA en ligne de mire.

Avec ingéniosité et moyens fous, il mit en place des stratagèmes pour contourner les contrôles aux frontières américaines.

Par exemple, il engagea un petit pilote d’avion dont il bourrait le chargement dans les roues, les sièges, et la carlingue de l’appareil ou alors il faisait transiter des sacs de patates ou de chaussures.

On peut aussi relever qu’il laissait tremper des jeans dans de la cocaïne liquide et les expédiait ; une fois là-bas, ses employés la prélevaient avec un produit spécial ou que El Patron acheta un sous-marin pour son export vers les pays demandeurs.

Plus il réussissait à faire passer de marchandise, plus il s’enrichissait.

Son business était en effet redoutablement efficace : pour la même somme dépensée en production, il revendait aux trafiquants de Floride cette fois ci entre 50 000 et 70 000 dollars le kilo de cocaïne.

Et plus le temps passait, plus les moyens et les quantités concernées se décuplaient.

Il acheta l’ile de Norman Caïman aux Bahamas afin d’y construire une piste. »

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