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Ossip Zadkine1890-1967Né à Smolensk, il fait un séjour de trois ans en Angleterre (1906-1909) et se fixe à Paris, oùil est décédé en 1967.

Publié le 22/05/2020

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« Ossip Zadkine 1890-1967 Né à Smolensk, il fait un séjour de trois ans en Angleterre (1906-1909) et se fixe à Paris, où il est décédé en 1967.

Ses premiers travaux sont influencés par Brancusi, ensuite par le Cubisme auquel il se rallie en 1914, il expose alors au Salon des Indépendants aux côtés de Csaky, Delaunay et La Fresnay : Job (bois), Maternité (bois), le Prophète (bois).

Après la Première Guerre mondiale, chacune de ses œ uvres témoigne de la continuité de ses recherches autant que de son habileté technique : Vendanges (bois, 1919), Léda (marbre, taille directe, 1920), le Baiser (pierre, 1921), le Guitariste (bois laqué, 1921).

Peu à peu les formes s'assouplissent, le mouvement devient plus accusé, il creuse ses figures, les Ménades (bronze, 1932).

Il utilise le même procédé pour le portrait : André Gide, François Mauriac (1943), Mme Bernard (1944).

Il exalte la mémoire des poètes ses amis dans des projets de monuments débordants de lyrisme : Jarry, Lautréamont, Rimbaud (1938), Apollinaire (1946). Par ses deux œ uvres : la Naissance des formes , le Labyrinthe (1947), il se rapproche du Surréalisme.

La recherche du mouvement et de l'expressivité le rapproche du futurisme d'un Boccioni dans le traitement du corps humain en action.

Après de courtes affinités avec ce statisme totémique de la sculpture surréaliste, son dynamisme dramatique et monumental, tout en contrastes — pleins et vides, ruptures de plans —, culmine après guerre dans une sorte d'expressionnisme emblématique (la Ville détruite , 1953-1954).

Ses gouaches de coloriste et ses eaux-fortes donnent un contrepoint poétique et médité à ses réalisations sculpturales.. »

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