Nouveaux acteurs de lutte HGGSP Termianle

« HGGSP : L’essor de nouveaux acteurs de lutte Depuis les années 2010, la température n’a jamais été aussi élevée, sur les 20 dernières années, près d’un demi-million de personnes sont décédées en raison d’événements climatiques extrêmes et les pertes matérielles s’élèvent à quelque 3 500 milliards de dollars.

Les changements climatiques et leurs impacts, immédiats et potentiels, sur la planète sont donc devenus un sujet de préoccupation majeure, partout dans le monde.

En réaction à ces changements des accords, on était mis en place pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, principales causes de l’élévation des températures, de façon drastique.

L’accord de Paris signé par plus de 180 pays fixe des objectifs de réduction de ces émissions aux longs termes.

Seulement les Etat fixe que des objectifs et leurs actions sont parfois qualifiés de légères ou peu radical par certains activistes.

Mais ce ne sont pas les seuls acteurs de cette lutte.

On va donc s’interroger sur qui sont les nouveaux acteurs de la lutte contre le réchauffement climatique et quel est leur rôle et leur impact dans cette lutte.

La première partie sera consacrée principalement au rôle des ONG dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Ensuite, nous verrons la mobilisation économique et sociale de certaines entreprises.

Enfin, nous évoquerons les différentes mobilisations citoyennes et locales et le rôle des citoyens. Depuis les années 80, la question du changement climatique est devenue urgente.

Certaines ONG on fait de cette question leur cheval de bataille au risque parfois de laisser de côté d’autres problème.

Elles apparaissent bien souvent à côté de la communauté scientifique, comme les seules organisations capables de développer une vision apolitique et détachée de la poursuite d’intérêts strictement matériels ou financiers.

Il est donc important de s’interroger sur leur réel rôle dans cette lutte ou le monde politique peine à mettre en place des solutions qui sont au final peu radicales.

On peut distinguer deux tendances.

La première regroupe des ONG comme Greenpeace ou Les Amis de la Terre, qui se sont constituées autour d’une remise en cause du modèle de développement occidental.

La seconde, illustrée par des organisations comme l’UICN (Union mondiale pour la nature) ou le WWF, regroupe des mouvements de protection.

On a donc d’un côté des ONG qui se mobilisent autour de scientifique et de la protection d’espèces et d’écosystèmes, qui portent un discours autour de la science (Greenpeace, Amis de la Terre).

De l’autre côté, on retrouve des ONG qui se forment plutôt autour de mouvement social et d’action contestataires.

Leur discours s’appuie d’avantages sur une remise en cause des modes de production et des rapports sociaux.

Leur action est donc très différente même si elle supporte la même cause.

Le rôle des ONG est aujourd’hui un rôle avant tout politique, elles investissent dans différentes politiques locales et permettent le développement de projet à grande ou petite échelle avec d’autres acteurs (collectivités territoriales, administrations,. »