Databac

"naissance" chez DESCARTES

Publié le 05/12/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : "naissance" chez DESCARTES . Ce document contient 633 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Ressources gratuites

 

Règles pour la direction de l’esprit, Règle quatorzième.

 Ainsi il ne faut pas espérer  pouvoir jamais donner à un aveugle de naissance des idées vraies sur les couleurs, telles que nous les avons reçues des sens. 

  LES PASSIONS DE L’AME, LETTRE Ire A MONSIEUR DESCARTES.

 principalement lorsque c’est un homme de bonne naissance, et qu’on sait n’être point d’humeur ni de condition à vouloir faire le charlatan.

 

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 182.

 Car pour ceux de l’âme ou même du corps, en tant qu’on les a de naissance, c’est assez en être digne que de les avoir reçus de Dieu avant qu’on fût capable de commettre aucun mal.

  Correspondance, année 1630, A Monsieur *** (ISAAC BEECKMAN), 17 octobre 163O.

 Tout ce qu’on transporte du lieu de sa naissance en un autre se corrige quelquefois, mais le plus souvent se corrompt, et jamais il ne conserve tellement tous les avantages que le lieu de sa naissance lui donne qu’il ne soit très facile de reconnaître qu’il a été transporté d’ailleurs.

  Correspondance, année 1639, Au R. P. MERSENNE, 20 février 1639.

 Et si j’étais à recommencer mon Monde, où j’ai supposé le corps d’un animal tout formé, et me suis contenté d’en montrer les fonctions, j’entreprendrais d’y mettre aussi les causes de sa formation et de sa naissance.

  Correspondance, année 1643, A MADAME ELISABETH PRINCESSE PALATINE, ETC, 18 juin 1643. (Les éditions contemporaines retiennent comme date le 28 juin 1643).

 Ce que je prends la liberté d’écrire ici à votre altesse, pour lui témoigner que j’admire véritablement que, parmi les affaires et les soins qui ne manquent jamais aux personnes qui sont ensemble de grand esprit et de grande naissance, elle ait pu vaquer aux méditations qui sont requises pour bien connaître la distinction qui est entre l’âme et le corps.

  Correspondance, année 1644, A UN R. P. JESUITE (P. DINET), 8 octobre 1644.

Voici enfin les Principes de cette malheureuse Philosophie, que quelques-uns ont tâché d’étouffer avant sa naissance.

  Correspondance, année 1646, A UN SEIGNEUR. (NEWCASTLE), 23 novembre 1646.

Les faveurs que je reçois par les lettres qu’il a plu à votre excellence de m’écrire, et les marques qu’elles contiennent d’un esprit qui donne plus de lustre à sa très haute naissance qu’il n’en reçoit d’elle, m’obligent de les estimer extrêmement ;

 

  Correspondance, année 1647, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 6 juin 1647.

 J’avais écrit ci-devant à ce mien ami résident en Suède, en répondant à une lettre où il parlait d’elle, que je ne trouvais pas incroyable ce qu’il m’en disait, à cause que l’honneur que j’avais de connaître votre altesse, m’avait appris combien les personnes de grande naissance pouvaient surpasser les autres, etc.

  Correspondance, année 1647, REMARQUES SUR LE TITRE, REMARQUES SUR CHAQUE ARTICLE.

 non pas que les enfants qui prennent naissance dans ces familles soient travaillés de ces maladies aux ventres de leurs mères, mais parce qu’ils naissent avec la disposition ou la faculté de les contracter.

  Correspondance, année 1649, A Monsieur CHANUT, 31 mars 1649.

 J’ai tant de créance à vos paroles, et vous me l’avez représentée avec des moeurs et un esprit que j’admire et estime si fort, qu’encore qu’elle ne serait point en la haute fortune où elle est, et n’aurait qu’une naissance commune, si seulement j’osais espérer que mon voyage lui fût utile ?

  Correspondance, année 1649, A Monsieur CHANUT, 4 avril 1649. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 23 avril 1649 et la considèrent comme étant adressée à Brasset.).

On n’a point trouvé étrange qu’Ulysse ait quitté les îles enchantées de Calypso et de Circé, où il pouvait jouir de toutes les voluptés imaginables, et qu’il ait aussi méprisé le chant des sirènes, pour aller habiter un pays pierreux et infertile, d’autant que c’était le lieu de sa naissance :

 

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles