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Musique et violence - Musique et idéologie

Publié le 21/11/2022

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« Piste de réflexion : Musique et idéologie, musique et manipulation, musique et révolte. Problématique : En quoi la musique peut-elle être l’objet de dérive idéologique I) Appropriation de la musique par les régimes totalitaires A) Le cadre : Stalinisme et Nazisme B) La musique : un outil de propagande étatique II) La musique ou la mise en sourdine pour exacerber les émotions A) Un frein à la pensée B) Loin de sa fonction première les musiciens laissent entendre une musique où ils deviennent des ennemis III) Possibilité de révolte A) Continuer à penser, à rire pour parvenir à rester libre B) La révolte et sa difficulté ou la musique détruit l’humanité en l’homme et créer les conditions d’une réflexion mémorielle INTRODUCTION : La musique, cet art de composer des mélodies, harmonieuse et invitant quelques fois à a danse à souvent été l’objet d’une exploitation idéologique quand elle ne servait pas d’auxiliaire à ce qui subissait les affres de quelques tyrannies C’est à cette réflexion que ce livre les auteurs de ce corpus composé d’une biographie romancé de Julian Barnes d’un essai de Pascal Quignard et d’un témoigne du chimiste italien Primo LEVI. Les 3 auteurs posent un rapport entre la musique et l’idéologie en fessant de cette art un outil d’aliénation dans le temps même ou elle devient un moyen de résistance. Après avoir fais état de l’appropriation de la musique part les régimes totalitaires, on la verra mise en sourdine pour exaspérer les émotions avant de constater en elle la possibilité d’une révolte. Les auteurs de ce corpus mettent en avant l’appropriation de la musique pour les régimes totalitaires.

Ces derniers se servent de cet art pour asseoir leurs idéologies et faire de la musique un instrument d’aliénation idéologiques.

C’est cette idée que promeut Julian Barnes dans « Le fracas su temps » ou il met en évidence la perception de la musique dans le contexte du Stalinisme.

Quignard et primo Levi ne font pas autre chose bien qu’ils mettent l’accent sur un autre cadre historique, celui du nazisme.

La musique devient aussi un outil de la propagande de l’état celui-ci s » en sert pour vanter ces propres mérites et ce poser comme incontournable.

Tel est le propos de Julian Barnes qui souligne l’instrumentalisation soviétique de cet art qui ne peux se pratiquer que selon les canons du parti de Staline.

Pour pascal Quignard tout comme primo Levi c’est le savoir-faire du nazisme que les Zélotes de cette idéologie s’attachent à voir en.... »

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