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Mozart

Publié le 23/05/2020

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Tyra

MBOMBUE

2nde Mozart

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MOZART Wolfgang Amadeus. Compositeur autrichien. Né le 27 janvier 1756 à Salzbourg (Autriche), mort à Vienne le 5 décembre 1791. Son père, Léopold, était musicien à la cour de l’archevêque de Salzbourg, compositeur modeste, mais bon violoniste et professeur apprécié. Il sut diriger avec sagesse la stupéfiante précocité musicale de son fils, comme aussi celle de son aînée, Marianne, de quatre ans plus âgée. A six ans le petit Mozart avait déjà composé son premier morceau de musique, un menuet, suivi peu de mois après de trois autres et d’un mouvement de sonate. En cette même année 1762, Léopold mena ses enfants aux cours de Vienne et de Munich, où ils se produisirent comme virtuoses. L’année suivante, nouveau voyage artistique, qui, en de nombreuses étapes, toutes constellées de concerts et de succès, conduisit la famille entière à Paris, où l’encyclopédiste Melchior Grimm s’employa à lancer le petit prodige dans les milieux artistiques mondains et à la cour. La musique particulièrement expressive du claveciniste silésien Johann Schobert, fixé à Paris, fut la première des innombrables influences musicales que le génie assimilateur de Mozart recueillit durant ses voyages. A Londres, où les Mozart se rendirent après Paris en 1764, il fut surtout frappé par la musique élégante, plaisante et aimablement superficielle de Johann Christian Bach. Quittant Londres le 1er août 1765, les Mozart passèrent encore neuf mois dans les Pays-Bas, entre concerts, maladies et ennuis de voyage, qui toutefois n’empêcheront pas les habituels triomphes et la composition d’une Symphonie en si bémol, K. V. 22 — Symphonies. Passant à nouveau par Paris, la famille rentra enfin à Salzbourg vers la fin de 1766. Tel fut le rythme de la jeunesse musicale de Mozart : voyages artistiques à Vienne et à l’étranger, avide et abondante récolte d’expériences musicales, lesquelles plus tard, lentement assimilées, porteront leurs fruits au long des paisibles séjours dans le calme de Salzbourg. Là régnait un goût musical quelque peu démodé, solidement provincial et ecclésiastique, en comparaison avec la tapageuse galanterie du style musical des capitales. Le plus grand musicien du lieu était Michel Haydn, frère du célèbre compositeur. Un nouveau voyage à Vienne (1707) fut interrompu par une épidémie de variole, mais l’année 1768 se déroula presque entièrement dans la capitale, où Mozart put entendre beaucoup d’œuvres théâtrales de Piccini, Hasse et Gluck. Et lui-même s’essaya à la composition d’un opéra-comique, La Finta simplice, qui, par suite d’intrigues de coulisses, ne put être représenté à Vienne mais seulement à Salzbourg, le 1er février 1769. Cependant en 1768, à Vienne, Mozart écrivit le petit opéra-comique en un acte, Bastien et Bastienne, et quelques Messes et Symphonies. La production de musique sacrée s’intensifia à Salzbourg où les Mozart passèrent presque toute l’année 1769, jusqu’à ce que Wolfgang partît avec son père pour le premier de ses trois voyages en Italie, étape obligatoire de tout musicien aspirant à une renommée internationale. Arrivés en Italie par le Brenner, ils nouèrent à Milan des relations avec le milieu théâtral, puis continuèrent par Bologne, Florence et Rome, où ils entendirent l’exécution du fameux Miserere d’Allegri pour la semaine sainte à St-Pierre. Le pape Clément XIV décerna à Mozart, âgé de quatorze ans, la croix de chevalier de l'Eperon d’Or. Mais avant tout l’Italie vint à la rencontre du pèlerin musicien avec le voluptueux jardin de ses chants d’opéra. A Bologne, Mozart profita de l’enseignement du docte père Martini, et fut admis à l’Académie philharmonique. Enfin, pendant l’automne, à Milan, il écrivit l’opéra Mithridate, roi du Pont, qui fut représenté le, soir de la St-Étienne et lui valut un engagement pour l’année suivante. Mozart rentre à Salzbourg fin mars 1771 ; il retrouve l’habituelle période d’organisation des intenses expériences musicales vécues cette fois en Italie. Nouveau voyage à Milan en automne 1771, pour composer la sérénade Ascanio en Albe, sur un livret de Parini, à l’occasion des noces de l’archiduc Ferdinand. Mais la mort du vieil archevêque de Salzbourg rappelle les Mozart dans leur pays en décembre 1771. Le nouvel archevêque, le comte Girolamo Colloredo, sera moins indulgent pour les longs voyages des Mozart père et fils, musiciens au service de la cour. Le dernier voyage en Italie a lieu entre 1772 et 1773 pour la composition et la représentation à Milan de l’opéra Lucio Silla; avec son habituelle précocité, Mozart se trouve à présent en pleine crise romantique d’adolescence, et son art se charge de notes dramatiques intenses, conformes au courant du pathétique werthérien et du « Sturm und Drang », qui en ces années agite la culture européenne. Suit alors la période plus longue du séjour à Salzbourg, interrompue seulement par un voyage à Vienne (1776) qui révèle au musicien l’extraordinaire maîtrise et l’inhabituelle intensité d’expression des six Quatuors, op. 20, de Haydn. D’autre part Mozart refond consciencieusement ses expériences musicales italiennes et viennoises dans une riche production de Symphonies, de Sérénades, de Divertissements, de musique d’église et de chambre. Au vrai, Salzbourg ennuie le jeune homme de dix-huit ans qui aspire à l’intense et moderne vie musicale de la capitale, et surtout au théâtre; mais il lui arrive seulement d’écrire un opéra bouffe pour Munich, La Finta Giardiniera (1775) et Le Roi pasteur, sur un texte de Métastase, pour les modestes milieux théâtraux de Salzbourg. Celle-ci, avec ses innombrables églises, lui réclame beaucoup de musique sacrée, et devient extrêmement ennuyeuse pour le jeune homme de vingt ans, avide de vivre et de réussir. Les rapports avec le nouvel archevêque sont de plus en plus tendus : c’est pourquoi Mozart décide de tenter la grande aventure, l’évasion de « la sauvage ville natale ». Il refera le voyage à Paris, pour renouveler les succès de l’enfance et trouver une discipline musicale valable ; sa mère l’accompagnera, car son père n’a pas obtenu la permission du sévère archevêque Colloredo. e voyage commence à l’automne 1777, et conduit d’abord le compositeur à travers les principales villes musicales allemandes, entre autres Augusta et Mannheim. L’hiver passé dans cette ville apporte aussi à Mozart l’expérience du premier amour profond, pour la jeune chanteuse Aloysia Weber. Au printemps 1778, le voyage se poursuit à Paris qui, bruyant et distrait, n’accueille plus le jeune homme avec l’enthousiasme réservé à ses prouesses d’enfant prodige; quelques commandes de musique instrumentale sont tout ce qu’il réussit à obtenir. Et voici qu’à Paris, le 3 juillet 1778, meurt la mère de Mozart : c’est le malheur qui s’abat pour la première fois sur l’artiste. Le 26 septembre, il quitte Paris pour un long voyage de retour, semé de désillusions; succès, éloges, compliments à foison, voire cadeaux princiers, breloques, tabatières et montres, mais ni à Paris ni dans aucune des villes allemandes traversées, il ne se présente la moindre occasion de travail stable. A Mannheim, la belle Aloysia se montre étonnamment changée; elle a recueilli quelques succès de chant, obtenu quelque engagement, et maintenant elle dédaigne l’amour du jeune artiste qui revient déçu de son aventure parisienne. Réticent, Mozart rentre à Salzbourg, qui maintenant, au début de 1779, dans son esclavage épiscopal, lui devient odieuse; il y passera deux années désagréables; le seul allégement sera le passage d’une compagnie théâtrale ambulante, dirigée par l’aventureux chef de troupe Schickaneder. Mozart ne manque pas une représentation, et écrit la musique de scène du drame exotique Thamos, roi d’Egypte. Mais une offre théâtrale bien plus importante lui fut faite par la toute proche Munich, qui le chargea d’un grand opéra, Idoménée , joué à Munich le 29 janvier 1781 et qui représente l’effort majeur de Mozart sur la voie du grand opéra de type gluckéen; il laisse loin derrière lui tous les précédents essais théâtraux de son auteur. Cependant mûrit la crise inévitable dans les rapports de Mozart avec l’archevêque Colloredo. rendant l’été de 1781 toute la cour se trouvait à Vienne, à la grande satisfaction de Mozart qui se réjouissait de l’intense vie musicale viennoise, se faisait des relations utiles et avait aussi noué une idylle avec la sœur d’Aloysia Weber, Constance (toute la famille s’était transportée à Vienne pour suivre les succès de la chanteuse). Ordre de rentrer à Salzbourg : plusieurs affaires pendantes empêchent Mozart de quitter la capitale à l’improviste, il demande une prolongation; elle est refusée; irrité, il présente sa démission et celle-ci lui est immédiatement accordée, rudement, avec, par surcroît, un camouflet. C’est fait : dans un mouvement de colère, Mozart a mis fin à une phase de sa vie. Dorénavant il vivra pour son propre compte, avec les revenus de son travail : les conditions d’existence du musicien seront toutes changées à partir de cette brouille historique du 9 juillet 1781; c’est l’époque romantique, où le musicien ne sera plus un salarié des princes mais un libre professionnel, avec tous les avantages et les risques de la liberté. Tout d’abord, malgré les prévisions alarmées du père, demeure à Salzbourg, la fortune sembla sourire à l’audace : la série de très beaux Concertos pour piano et orchestre attira sur Mozart l’admiration de Vienne, l’estime des amateurs et la possibilité de gagner sa vie par de fréquents concerts et des leçons particulières bien rémunérées. Couronnant cette période favorable, c’est la commande d’un opéra, plus précisément d’un « Singspiel », opéra populaire comique en allemand, pour le Burgtheater. Et ce fut L’Enlèvement au sérail, écho de l’heureuse période sentimentale que vit le musicien, à savoir son mariage avec Constance Weber, sœur d’Aloysia. L’opéra fut représenté le 16 juillet 1782, et eut du succès, attirant du même coup de nouvelles occasions de travail et la dangereuse envie des rivaux. Dans le brillant climat artistique de la capitale, le style de Mozart atteint la suprême maturité, se dépouillant de tout reste du provincialisme de Salzbourg. Après la production de musique religieuse, de sérénades et de divertissements, viendront en premier lieu les classiques formes de la symphonie, du quatuor — v. Quatuors —, du concerto — v. Concertos pour violon et orchestre. Un échange fécond d’influences réciproques s’établit avec Haydn, spécialement pour la production des quatuors. Un mélomane viennois, le baron Van Swieten, révèle à Mozart la grandeur de Bach et de Haendel; dès lors son art se renforce d’une remarquable densité contrapuntique. En ce qui concerne son écriture pianistique, le style de Mozart ne reste pas sans trace de la joute aigre-douce de virtuosité qui l’opposa à Muzio Clementi de passage à la cour de Vienne en 1781.

La plus haute aspiration artistique de Mozart demeurait toujours, cependant, l’œuvre théâtrale, et après la tentative abandonnée de L’Oie du Caire [ 1783] et le petit épisode dramatique du Directeur de théâtre (1786), une autre occasion importante se présenta avec le livret italien des Noces de Figaro, de Lorenzo Da Ponte; l’opéra remporta un succès honorable mais non exceptionnel à Vienne (1er mai 1786), triompha ensuite à Prague, et valut à Mozart la commande du Don Juan , qui, le 29 octobre 1787, à Prague, lui apportera son plus grand succès théâtral. A Vienne, par contre, la chance commençait à diminuer : le travail des envieux recueillait ses fruits, ruinant Mozart dans la faveur de l’empereur. Cependant, succédant à Gluck comme musicien de chambre et compositeur de cour, il se vit réduire à moins de moitié les émoluments qui étaient octroyés à celui-ci (et sa faveur à la cour diminua encore après la mort de l’intelligent et moderne Joseph II en 1790). La vie privée de Mozart non plus n’était pas entièrement heureuse; avec sa femme surgirent des difficultés : la jalousie réciproque, les maladies, l’aiguillon toujours plus harcelant de la misère. Le dernier opéra écrit en collaboration avec Da Ponte, Cosi fan tutte, représenté le 26 janvier 1790, ne résolut pas le sort du musicien; à la pénible gêne économique vint s’ajouter un état de santé toujours plus lamentable. La dernière année de la vie terrestre de Mozart fut un calvaire toujours accru de souffrances matérielles et morales, qui cependant ne parvinrent pas à éteindre la veine si pure de son inspiration musicale; au contraire celle-ci se fortifia et s’affina dans l’expérience de la douleur. Dans le domaine de la symphonie, du concerto et de la musique de chambre, les cinq dernières années de la vie de Mozart virent naître les plus grands chefs-d’œuvre. La réussite matérielle par contre s’éloignait toujours davantage, et le compositeur dut s’abaisser à écrire d’humbles musiques de circonstance pour faire face aux dettes qui le poursuivaient. D’expulsion en expulsion il perdit toute possibilité de travail tranquille dans l’atmosphère du calme domestique, et il s’imagina trouver une aide dans la fraternité maçonnique. Dans un tel assaut de malheurs le dernier rayon de lumière fut l’arrivée à Vienne de la compagnie théâtrale de Schickaneder qui lui commanda une œuvre musicale allemande, sur un thème merveilleux, La Flûte enchantée. Mozart, dans un état de santé désormais précaire, se raccroche à ce travail avec une énergie désespérée, approfondissant toute son irréductible soif de vie, de joie et de confiance dans l'humanité. Ce fut une diversion brève et sans enthousiasme que la composition d’une œuvre de circonstance, La Clémence de Titus, représentée à Prague le 6 septembre 1791 pour le couronnement du nouvel empereur Léopold II comme roi de Bohême. C’est un retour au style de Gluck à la façon d'Idoménée, comme si, entretemps, Mozart n’avait pas créé ce genre théâtral nouveau, dramatique et comique à la fois, qui culmine dans le Don Juan et qui s’évade des habitudes traditionnelles, tant de celles du grand opéra que de celles de l’opéra-comique. Mozart, désormais cloué sur son lit de douleur, ne put même pas assister personnellement au grand succès populaire de La Flûte enchantée, représentée le 30 septembre 1791 et souvent reprise. La commande d’un Requiem, venant d’un inconnu, troubla son esprit déjà ébranlé par l’angoisse et pendant la composition de ce travail, achevé plus tard par son élève Sussmayer, la mort l’emporta. Sa sépulture fut très modeste, celle d’un anonyme. Sa veuve Constance se remaria en 1809, avec le conseiller de la légation danoise Nicolas von Nissen, et elle apprit de lui ce qu’elle n’avait jamais su comprendre, qu’elle avait été la femme d’un des plus grands génies humains; les époux, déjà mûrs, passèrent les dix-sept années de leur vie commune à élaborer une biographie de l’artiste disparu, rédigée par von Nissen et que Constance, demeurée veuve une secondé fois, publia en 1828. Les Lettres de Mozart et de sa famille [Die Briefe Mozarts und seiner Familie] parurent pour la première fois à Munich en 1914 (5 volumes).

« Tyra MBOMBUE 2 nde Mozart Français Au XIXème siècle, époque de l’essor de la bourgeoisie, Maupassant nous présente un nouveau personnage ambitieux voulant monter dans la société, malgré sa situation financière. Écrit par Guy de Maupassant, Bel-Ami est publié pour la première fois en 1885 sous forme de feuilleton.

Il s’agit d’un roman réaliste, car on nous informe dans cet incipit que Georges Duroy travaille aux chemins de fer du Nord, pour un pauvre salaire.

L’auteur a donc développé dans son roman une ambition quotidienne des pauvres ouvriers souhaitant s’élever dans la société et devenir des hommes du monde.

Nous allons ainsi pouvoir découvrir les atouts que possèdent ce personnage, mais également les freins à son évolution.

Ce qui entraine la problématique suivante : En quoi Georges Duroy apparaît-il comme un héros ambivalent ? Afin de répondre à notre problématique, nous allons tout d’abord nous appuyer sur les atouts que possède Georges Duroy pour devenir quelqu'un. À la ligne 6, « les femmes » traduit une généralisation du genre féminin.

On comprend explicitement que Georges Duroy attire toutes les femmes sans exception.

On en déduit qu’il a tellement de charme que dès qu’elles le voient le regard des femmes est tout de suite tourné vers lui. À la ligne (6-7-8), « ouvrières », « maitresse de musique » et « bourgeoises » représentent une énumération des différents statuts sociaux d’une femmes à cette époque.

C’est-à-dire une gradation.

Cette gradation exprime la diversité des femmes qui sont séduites par lui, ce qui nous fait penser que toute femme, quelque soit sa classe, lui succombera.

Cela nous amène au côté séducteur et calculateur du personnage, qui n’hésitera sans doute pas utiliser cet atout pour gravir petit à petit les échelons, et ainsi arriver faire partie de la classe bourgeoise.

La comparaison à la ligne 8, « comme des coups d’éperviers », compare Georges Duroy à un oiseau, et de ce fait les femmes à ses proies.

Donc, partant de ce point de vue, il est un prédateur à la recherche d’une proie qui lui donnera ce dont il a besoin.

En l’occurrence une femme qui satisfera ses désirs au niveau social et économique. Pour conclure, Georges Duroy use de son physique et de son charme pour attirer l’attention des femmes issus d’un bon statut social, afin de conquérir la ville de Paris et grimper dans la société. Mais cela n’est pas tout.

Son ambition toujours grandissante l’aidera beaucoup dans son but de devenir quelqu'un. À la ligne 22, « Il avait toujours l’air de défier quelqu'un, les passants, les maisons, la ville entière » désigne une suite de choses toujours plus grandes que la précédente.

Cela montre que Georges Duroy n’est parti de rien, mais a évoluer petit à petit jusqu’à conquérir Paris tout entier.

Son ambition est grande et n’a pas de limites. À la ligne 24, « gardait une certaine élégance tapageuse » est une description nous faisant part de l’allure qu’a Georges Duroy dans la rue.

Ce procédé nous montre qu’il essaie tant bien que mal de s’approprier le style vestimentaire des hommes importants. »

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