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MENDES FRANCE, Pierre (11 janvier 1907-18 octobre 1982)

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : MENDES FRANCE, Pierre (11 janvier 1907-18 octobre 1982). Ce document contient 271 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.   mendésisme Pratique politique de Pierre Mendès France, radical, président du Conseil de juin 1954 à février 1955. Homme de gauche, ancien député du Front populaire, il mène une politique originale fondée sur un dialogue direct avec les Français. Il explique ses projets et s'engage à les tenir. Il promet devant l'Assemblée de mettre fin à la guerre d'Indochine; en juillet 1954, les accords de Genève sont signés. Ces engagements suscitent une forte opposition, à droite comme à gauche, et entraînent sa chute, en février 1955. Pierre Mendès France reste un des hommes marquants de la IVe République.

« MENDES FRANCE, Pierre (11 janvier 1907-18 octobre 1982) Homme politique Mendès France commence sa vie en étant systématiquement le plus jeune… Avocat à dix-neuf ans, docteur en droit à vingt et un, député à vingt-cinq, ministre à trente et un.

Emprisonné en août 1940 pour avoir tenté de gagner le Maroc pour y continuer le combat, il est condamné à six ans de prison pour désertion, s’évade, rejoint de Gaulle à Londres et devient aviateur dans les Forces aériennes françaises libres.

Dès septembre 1944, il détient le portefeuille de l’Economie dans le gouvernement provisoire de De Gaulle.

Certain que seule une politique d’austérité convient, il démissionne en avril 1945 du gouvernement de Pleven.

Dans les années qui suivent, il n’est guère que 232 jours au pouvoir.

Mais, chaque fois qu’il assume celui-ci, il affronte les problèmes sans différer une réponse.

C’est ainsi qu’il conclut la paix en Indochine en 1954 après le désastre de Diên Biên Phu, qu’il ouvre la voie à l’indépendance de la Tunisie par son discours de Carthage en août 1954.

Fondateur du Front républicain, qui remporte une victoire aux élections législatives de janvier 1956, il est ministre d’Etat dans le gouvernement que forme alors Guy Mollet.

Trois mois plus tard, il démissionne pour marquer son désaccord avec la politique algérienne qui est menée.

Mendès France s’oppose après 1958 au régime du général de Gaulle par la création de l’Union des forces démocratiques.

Membre du parti socialiste unifié, ses défaites lors d’élections législatives n’entament pas l’image qui est la sienne au sein de la gauche française, pour laquelle sa détermination, son courage et sa rigueur demeurent des repères.. »

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