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Mary Pickford

Publié le 07/12/2021

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réalisé par Marshall Neilan. Cette même année, elle crée avec Charlie Chaplin , David Wark Griffith et son futur époux Douglas Fairbanks une société de production et de distribution de films, United Artists.

 

La jeune femme, à présent âgée de vingt-huit ans, tente de se libérer définitivement de ce rôle de fillette ingénue, mais c'est tout d'abord un échec. Son personnage d'Espagnole au tempérament de braise, mis en scène par Lubitsch dans le film \"Rosita\" (1923), est boudé par le public, de même que son apparition dans une adaptation de Shakespeare, réalisée par Sam Taylor, d'après \"La Mégère apprivoisée\" (1929). Les critiques l'estiment dépourvue de toute sensualité. Un oscar -le premier oscar attribué à un film parlant- lui est cependant

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Star de cinéma dès son enfance, Mary Pickford, devenue une vraie femme d’affaires, ne peut que difficilement se défaire de son image de fillette ingénue. Née le 18 avril 1893 à Toronto (Canada) sous le nom de Gladys Smith, Mary Pickford est élevée dans une famille pauvre.

A douze ans, elle décroche son premier rôle au théâtre, à Broadway, et, en 1909, elle est découverte par David Wark Griffith, qui travaille pour la société de productions Biograph.

Elle tourne près de cent cinquante films de quinze minutes.

Producteurs et réalisateurs font aussitôt de cette actrice gracile le type même de la fillette naïve en petite robe évasée et portant des anglaises blondes.

Elle incarne le charme, la malice enfantine, l’innocence.

Bien qu’à l’époque le nom des acteurs ne soit pas encore mentionné au générique des films, le public la reconnaît et la surnomme la "fille de Biograph" ou "Petite Mary".

Ainsi grandit Mary Pickford, devenant l’une des premières vedettes du cinéma américain. Adolph Zukor, qui la prend sous contrat en 1913 pour sa société de production Famous Player, constate assez rapidement que la Pickford n’est pas, dans la réalité, aussi naïve qu’à l’écran, et qu’elle a un sens très prononcé des affaires.

Elle est une des premières actrices à se faire payer en fonction de sa valeur sur le marché.

Engagée à ses débuts avec un cachet hebdomadaire de 10 dollars, elle négocie chez Famous Player, entre 1913 et 1915, faisant passer son cachet de 500 à 2 000 dollars, puis elle change rapidement de société, choisissant celles qui sont en mesure de lui verser les cachets les plus élevés.

Revenant ensuite auprès de Zukor, Mary Pickford tourne entre 1917 et 1919 quelques-uns de ses meilleurs films, notamment "La Petite Princesse" (1917), film de propagande réalisé par Cecil B.

de Mille à l’occasion de l’entrée en guerre des Etats-Unis, et "Papa longues jambes" (1919), adaptation cinématographique d’un classique de la littérature enfantine, réalisé par Marshall Neilan.

Cette même année, elle crée avec Charlie Chaplin , David Wark Griffith et son futur époux Douglas Fairbanks une société de production et de distribution de films, United Artists. La jeune femme, à présent âgée de vingt-huit ans, tente de se libérer définitivement de ce rôle de fillette ingénue, mais c’est tout d’abord un échec.

Son personnage d’Espagnole au tempérament de braise, mis en scène par Lubitsch dans le film "Rosita" (1923), est boudé par le public, de même que son apparition dans une adaptation de Shakespeare, réalisée par Sam Taylor, d’après "La Mégère apprivoisée" (1929).

Les critiques l’estiment dépourvue de toute sensualité.

Un oscar - le premier oscar attribué à un film parlant- lui est cependant 1. »

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