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MARGUERITE DE NAVARRE(1492-1549) - BIOGRAPHIE.

Publié le 17/05/2020

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« 1 / 2 MARGUERITE DE NA V ARRE (1492-1549) A treize ans, elle parlait J'italien et J'espagnol comme le français, elle connaissait un peu de grec, de latin et d'hébreu.

Plus tard, elle fit de sérieuses études philosophiques et théologiques.

Cette «perle des perles>> de la Renaissance était sœur de François 1er.

Grande, élancée, le nez un peu long, elle avait un teint éblouissant et charmait par ses yeux pétillants et son sourire enjôleur.

Née à Angoulême le Il avril 1492 (elle était fille de Charles de Valois-Orléans, comte d'Angoulême, et de Louise de Savoie), on la maria très jeune (12 décembre 1509) à Charles, duc d'Alençon, qu'elle n'aimait pas et qui mourut de honte, en 1525, pour avoir, provoqué par sa fuite le désastre de Pavie.

Deux ans plus tard, elle épousa Henri d'Albret, roi de Navarre, son cadet de douze ans, dont elle semblait éprise mais qui ne la rendit guère plus heureuse.

En fait, elle aimait surtout son frère, pour qui elle manifesta toujours un grand dévouement : elle alla Je voir pendant sa captivité en Espagne et travailla à le faire libérer.

A la cour de France comme à Nérac, Marguerite de Navarre (ou de Valois) fascine tous ceux qui J'approchent par ses dons du cœur et de l'esprit.

Elle s'entoure d'érudits, de poètes et d'artistes, se liant avec Marot.

Rabelais, Dolet, Briçonnet, Calvin, plus tard avec Maurice Scève et Louise Labé.

Sa petite cour devient un foyer d'humanisme.

Mais cette fervente chrétienne s'intéresse aux idées de la Réforme- sans toutefois abjurer la foi de ses pères - et fait tous ses efforts pour réconcilier catholiques et protestants :elle ne comprend pas qu'on puisse s'entretuer au nom du Dieu sauveur ! Jeune.

elle avait publié ses premiers vers : un Dialogue en forme de vision nocturne, longue méditation religieuse.

En 1531, son Miroir de l'âme pécheresse est condamné par la Sorbonne.

Plus tard, à Nérac, elle écrit J'Heptaméron, recueil de nouvelles à la Boccace, rempli d'imagination et d'esprit mais aussi de paillardise (il ne parut qu'en 1558).

Ce furent ensuite d'autres poèmes, souvent allégoriques.

pleins de grâce et de fantaisie : les Marguerites de la Marguerite des princesses (1547), puis des .

Ses travaux littéraires ne J'empêchent pas de s'intéresser à son royaume, qu'elle administre de son mieux avec son mari.

En 1528, elle met au monde une fille, Jeanne d'Albret, la future mère d'Henri IV.

La reine de Navarre meurt à Odos, près de Tarbes, le 21 décembre 1549, deux ans après la disparition de son frère qu'elle avait tant pleuré.

Avec elle disparaissait, dira Ronsard.

Tout ce qu'avait notre terre D'honneur, de grâce et de beau. 2 / 2. »

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