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Macumba

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 Macumba 1 Transferes en Amerique latine au cours des siecles, les eselaves africains y ont apporte des croyances et des rites animistes qu'ils ont conserves ou adaptes quand, sur ordre de Ia Couronne, ils eurent six mois pour se convertir au catholicisme.

L'influence culturelle du feti- chisme est considerable.

Des formes musicales popu- laires comme la samba bresilienne, la rumba cubaine ou les calypsos des Antilles britanniques en sont directement issues.

Des ethnologues estiment que certains rites se sont conserves plus purs dans l'exil de l'esclavage qu'en Afrique mem (ou d'ailleurs la samba et la rumba reapparaissent grace aux moyens de diffusion moderne).

2 Au Brasil, le nom de macumba designe ('ensemble des rites et des pratiques qui permettent d'etablir une communication avec les « esprits» par l'intermediaire des transes de sujets privilegies.

De meme que le culte du Vaudou aux Antilles, on trouve son origine dans les religions du Dahomey et du Nigeria et, en particulier, dans Ia mythologie des Yorubas.

Les memos mots demeurent utilises des deux cedes de l'Atlantique.

Les esprits sont les wishes et ceux qui parviennent a en etre possedes, les « pretres d'orishas ou babalorishas.

3 Les ceremonies de Ia macumba visent a provoquer la transe au moyen de musiques obsedantes, venues du fond des ages, et nombreux sont les Blancs qui les suivent.

Elles sont loin d'avoir toutes la !name authen- ticite.

C'est seulement dans la region de Bahia que les pratiques considerees comme les plus pures se conservent encore et sont designees sous le nom de can- dombles (xangos a Recife).

Elles impliquent de veritables initiations africaines ou les sacrifices d'animaux et des bains rituels completent les interminables musiques incan- tatoires, mais les Mines les tiennent tres strictement secretes.

La plus spectaculaire est Ia procession de Yemaja, deesse de la mar, cheque 2 Wirier a Bahia.

Macumba 1 Transférés en Amérique latine au cours des siècles, les esclaves africains y ont apporté des croyances et des rites animistes qu'ils ont conservés ou adaptés quand, sur ordre de la Couronne, ils eurent six mois pour se convertir au catholicisme.

L'influence culturelle du féti- chisme est considérable.

Des formes musicales popu- laires comme la samba brésilienne, la rumba cubaine ou les calypsos des Antilles britanniques en sont directement issues.

Des ethnologues estiment que certains rites se sont conservés plus purs dans l'exil de l'esclavage qu'en Afrique même (où d'ailleurs la samba et la rumba réapparaissent grâce aux moyens de diffusion moderne).

2 Au Brésil, le nom de macumba désigne l'ensemble des rites et des pratiques qui permettent d'établir une communication avec les « esprits » par l'intermédiaire des transes de sujets privilégiés.

De même que le culte du Vaudou aux Antilles, on trouve son origine dans les religions du Dahomey et du Nigeria et, en particulier, dans la mythologie des Yorubas.

Les mêmes mots demeurent utilisés des deux côtés de l'Atlantique.

Les esprits sont les orishas et ceux qui parviennent à en être possédés, les « prêtres d'orishas » ou babalorishas.

3 Les cérémonies de la macumba visent à provoquer la transe au moyen de musiques obsédantes, venues du fond des âges, et nombreux sont les Blancs qui les suivent.

Elles sont loin d'avoir toutes la même authen- ticité.

C'est seulement dans la région de Bahia que les pratiques considérées comme les plus pures se conservent encore et sont désignées sous le nom de can- dombles (xangos à Recife).

Elles impliquent de véritables initiations africaines où les sacrifices d'animaux et des bains rituels complètent les interminables musiques incan- tatoires, mais les Initiés les tiennent très strictement secrètes.

La plus spectaculaire est la procession de Yemaja, déesse de la mer, chaque 2 février à Bahia. 2 / 2. »

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