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Louise Ackermann (1813-1890) Ses vers pessimistes, loués par ceux-là mêmes qui en blâmaient les tendances (Contes et poésies, 1863), ont été réunis sous le titre de Poésies philosophiques (1874).

Publié le 22/05/2020

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ACKERMANN Louise (née Victorine Choquet). Poétesse française. Née à Paris le 30 novembre 1813, morte à Nice le 3 août 1890. Elle fut instruite par son père, qui était voltairien et disciple des Encyclopédistes, puis envoyée à Berlin pour y achever ses études. Elle s’y maria, en 1844, avec Paul Ackermann, pasteur protestant, précepteur des princes et ami de P.-J. Proudhon. A Berlin elle connut Humboldt, Müller et Baeck. Après la mort de son mari, elle se retira à la campagne près de Nice, dans une solitude presque totale. La Revue des Deux Mondes publia ses poèmes. Elle réunit plus tard ses œuvres en volumes. Havet, Caro et Deschanel les avaient déjà présentées au public et en avaient fait une critique louangeuse, avec des réserves néanmoins au sujet de son pessimisme et de son esprit négateur. Sa philosophie, en effet, est une sorte de stoïcisme athée qui se réclame de Spinoza, Kant et Schopenhauer. Ses œuvres majeures sont ses Contes (Nice, 1855), fantastiques et gracieux, ses Premières Poésies (1862) publiées à nouveau avec les Poésies philosophiques (1874) qui sont les plus connues, et enfin les Pensées d’une solitaire (1883), précédées d’une autobiographie.

« Louise Ackermann 1813-1890 Ses vers pessimistes, loués par ceux-là mêmes qui en blâmaient les tendances ( Contes et poésies , 1863), ont été réunis sous le titre de Poésies philosophiques (1874).

Elle est la seule femme poète qui compte de 1850 à 1880.. »

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