Databac

LOUIS VII LE JEUNE(vers 1120-18 septembre 1180)Roi de France (1137-1180).

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : LOUIS VII LE JEUNE(vers 1120-18 septembre 1180)Roi de France (1137-1180). Ce document contient 957 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« LOUIS VII LE JEUNE (vers 1120-18 septembre 1180) Roi de France (1137-1180). Fils de Louis VI et d’Adélaïde de Savoie.

Louis VII vient tout juste d’épouser Aliénor d’Aquitaine lorsque son père meurt et qu’il doit monter sur le trône, le 1er août 1137 , à dix-sept ans.

Il a été instruit par le conseiller de Louis VI ,l’abbé Suger , et, sans la mort accidentelle de son frère aîné (1131), il serait rentré dans les ordres.

Mais Suger lui-même a obligé le jeune prince à renoncer à sa vocation et poussé le roi à nommer son cadet comme successeur.

C’est encore lui qui a arrangé le mariage décisif de Louis VII avec l’héritière du duché d’Aquitaine.

Aliénor apporte en dot un vaste territoire, couvrant la Gascogne, le Périgord, l’Auvergne, le Limousin et le Poitou, ainsi que des droits sur plusieurs grands fiefs de la France méridionale, notamment sur le comté de Toulouse.

Jamais la jeune monarchie capétienne n’a été aussi riche et puissante, n’a joui d’un tel prestige dans la chrétienté ; jamais le royaume n’a connu un tel regain de prospérité économique.

La population s’agrandit, l’agriculture se transforme, le commerce et l’industrie se développent : tout est favorable à un grand règne.

Il n’en sera rien.

Le roi dévot vit comme un ascète, entouré de prélats et de moines.

On le dit bon, mais il est surtout faible et velléitaire.

Première défaite : il s’affronte au comte de Toulouse, qui refuse de faire hommage au nouveau souverain.

Le siège devant la ville (1141) est en échec humiliant, la plupart des grands feudataires ayant refusé leur concours aux forces royales.

Nouvelle grave erreur qui se termine par un épisode tragique : intervenant dans un conflit entre le pape et le comte de Champagne, Louis VII envahit le comté, prend d’assaut la ville de Vitry-en-Perthois et y fait mettre le feu (1142).

Trois mille personnes qui s’était réfugiées dans l’église périssent dans les flammes.

Vive émotion dans toute la chrétienté.

Pris de remords, le roi ne pense plus qu’à se croiser pour expier son crime.

L’occasion lui est donnée quatre ans plus tard.

Après le massacre général des chrétiens par les musulmans à Edesse, la promesse d’aider le royaume de Jérusalem n’a pas été tenue. Louis VII décide qu’elle le sera par lui, malgré l’avis défavorable de Suger .

La deuxième croisade est prêchée par le pape Eugène III.

A. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles