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L'opération «Jéricho»Bel exemple de solidarité franco-britannique Février.

Publié le 17/05/2020

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« 1 / 2 L'opération «Jéricho» Bel exemple de solidarité franco-britannique Février 1944 «Quand j'ai appris que l'attaque sur la prison d'Amiens avait fait 95 tués et 87 blessés, j'ai d'abord pensé que Ponchar­ dier eût mieux fait de ne pas la susciter.» C'est le colonel Rémy qui parle.

Le lec­ teur jugera.

A la fin de l'année 1943, onze F.T.P.F.

de la région de Mers-les-Bains ont été fusil­ lés à la prison d'Amiens.

Jean Beaurin, champion du sabotage, y est incarcéré.

n doit être fusillé le 20 février, mais Ponchardier et «Pépé», chef d'un grou­ pe armé de la région, décident de le libé­ rer.

Beaurin n'est pas seul; 500 prisonniers politiques et résistants sont enfermés à Amiens.

Au début de janvier 1944, le commandant «Eugène» a lancé une opération contre la prison de Saint­ Quentin.

Celle-ci a échoué; de plus, elle a contribué à renforcer les systèmes de surveillance.

Tout paraît se liguer contre «Pépé» et Ponchardier, qui voient, en outre, deux de leurs camarades arrêtés au dernier moment.

Les deux responsa­ bles sont sur le point de renoncer, mais les parents des condamnés les supplient de persévérer.

Le casernement des gardiens est situé au milieu de la prison.

Il faut trois ou quatre bombes pour les neutraliser; d'autres, pour ouvrir des brèches dans les murs d'enceinte, défoncer les portes des cellules et bloquer les panzers.

On a besoin de la R.A.F.

Où bombarder? En haut lieu, on se ré­ signe à frapper du côté des «droit com­ mun».

Ponchardier en parle au group captain Pickard qui obtient l'accord de l'Intelligence Service et de la R.A.F.

Ponchardier s'assure encore le concours de plusieurs prisonniers, d'habitants de maisons voisines et de vingt-deux hom­ mes de la Résistance locale.

Le 18 février, à 11 heures du matin, sept hommes se promènent près de la prison.

lls sont inquiets: les cent F.T.P.F.

qui devaient collaborer à l'opération ne sont pas là.

A 12 h 01, deux escadrilles de Mosquitos arrivent: l'une bombarde la voie de chemin de fer; l'autre, la prison.. »

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