LL Le malade imaginaire Acte 3 scène 4

« • Séquence 4 : Spectacle et comédie / Le malade imaginaire Lecture linéaire 1 acte III/ 4 En quoi ce texte illustre l’opposition entre Argan et Béralde ? Mouvement : L1 à 7 : surprise et colère de Béralde L7 à 17 : entretient conflictuel entre Béralde et M.

Fleurant aux sujets des lavements L18 : échange entre les deux frères Comique de caractère car argan est infantiliser, argan qui passe pour un enfant Comique de situation car Comique de mot « vous êtes habituer a parlé que à des visages » ARGAN : Ah ! mon frère, avec votre permission... Interjection « ah », c’est un soulagement, il attendait impatiemment le médecin + CC de manière, il coupe la parole. BERALDE : Comment ? Que voulez-vous faire ? Questions successives ARGAN : Prendre ce petit lavement-là : ce sera bientôt fait. Adjectif + futur de l’indicatif « Ce sera » : subjonctif, pour accélérer BERALDE : Vous vous moquez.

Est-ce que vous ne sauriez être un moment sans lavement ou sans médecine ? Remettez cela à une autre fois, et demeurez un peu en repos. Ton plus autoritaire « vous vous moquer », il fait preuve d’autorité.

2 impératifs « remettez » « demeurez » : 2 ordres.

Argan est excité à l’idée d’avoir un traitement.

Négation dans la question, il s’adresse à son frère comme un enfant, lexique de l’apaisement « en repos » face à l’excitation d’argan. ARGAN : Monsieur Fleurant, à ce soir, ou à demain au matin. Argan c’est calmé, comme un enfant, il utilise une alternative, il est en demande de ce traitement, il arrive à se calmer de son apothicaire.

Béralde la persuadé mais pas convaincus MONSIEUR FLEURANT, à Béralde.

: De quoi vous mêlez-vous, de vous opposer aux ordonnances de la médecine, et d'empêcher monsieur de prendre mon clystère ? Vous êtes bien plaisant d'avoir cette hardiesse-là ! 2ème mouvement : il s’adresse à Béralde sur un ton autoritaire il est irrité (utilisation de l’impératif), car il va perdre un très bon client et ce n’est pas bon pour ses affaires.

Il montre son opposition par la question.

Il le ressent comme un attaque personnelle « mon clystère ».

« Aux ordonnance de la médecine » comme si il était lui-même le représentant de la médecine, par la on voit l’aspect. »