L'extrait qui nous est proposé est issu de la nouvelle “Aux champs” écrit par Guy de Maupassant

« L'extrait qui nous est proposé est issu de la nouvelle “Aux champs” écrit par Guy de Maupassant écrivain et journaliste littéraire français au 19e siècle (1882).à travers cette nouvelle nous allons étudier la manière dont l'auteur dénonce la réalité des conditions de vie des plus pauvres au 19e siècle dans un monde d'inégalité.

Afin de le comprendre nous pourrions nous demander “De quelle manière la misère des paysans est-elle reconnaissable à travers un monde d'opposition aux idées réalistes ?”.

Pour répondre à cette problématique nous allons nous intéresser aux deux axes suivants: premièrement “un regard réaliste sur la misère des paysans” et enfin “une proposition inacceptable”. Lors de cette première partie nous allons nous interroger sur le regard réaliste par rapport à la misère du paysan.

Pour cela nous allons nous appuyer sur la rencontre entre ces deux milieux opposés ainsi que ce concert de réalisme. Tout d'abord à la lecture de cet extrait nous ne possédons pas la moindre information sur la manière dont on aurait pu se dérouler cette rencontre mais quelques indices nous permettent de comprendre qu'elle se fit en plusieurs parties “mais elle revint la semaine suivante” L.40.

Ici, nous remarquons une certaine insistance de la part de la femme.

Nous remarquons également que le mari n’est point attaché à la décision de la femme, “tandis que son mari attendait patiemment dans sa frele voiture” L.42-43.

On observe également l’enthousiasme de la femme sur les enfants, “le bourra de gateau, donna des bonbons, les povhes pleines de friandises et de sous”.

Elle avait comme une attirance envers ces enfants étant donné qu'elle n’en possède pas.

Les parents eux ne sont pas oisifs, “en train de fendre du bois pour la soupe” L.50.

Mais ils n’étaient pas prêts face à l’annonce qui allait leur être proposée.

Cette femme dénommé henri-hubières adopte dans ce récit un comportement très peu mature, “joua avec eux comme une gamine”.

Cette impression se renforce par sa manière d’aborder la famille tuvache, “tremblant”L.52 et les points de suspension qui montre son embarras, alors qu’elle exprime une demande extrêmement violente et choquante par laquelle elle exprime son envie d'acheter leur enfants.

Elle se comporte comme une enfant autoritaire et capricieuse à qui on n' a jamais rien refusé.

On comprend donc ici qu'il s'agit de personnes bourgeoises et que la famille paysanne tuvache ne sont que des pauvres par laquelle ils cherchent un moyen d’acheter un enfant sûrement dû à une stérilité venant d’un des deux partenaires.

Plusieurs élément montre leurs supériorité par rapport à la famille Tuvache, notamment la manière dont ils traitent les enfants comme des animaux, “aux mioches"L48.Ici, les Hubieres voient cette proposition comme une chance pour les enfant vivants dans des conditions de vie insalubre, “songez à l’avenir de votre enfants”L.79.

Face au refus des tuvaches furieux et contre leur proposition la femme en pleure accentue le comportement égoiste,capricieuse et immature dont-elle est dotée.

Suite à cela, ils firent une autre proposition à une famille vivant non loin des Tuvaches, Les Vallin.

Ils le firent de manières plus élégante en touchant au point faible des paysans, l’argent.

Et c’est là que nous remarquons l’écart au niveau social qui se trouve entre ces deux familles notamment dans leurs type de langage, “qué qu’t’en dis, l’homme”L99.

Nous remarquons également la manière étrange dont la femme nomme son mari “homme” comme si elle était dépourvu de sentiment.

Face à la somme proposée, les Vallin semblant intéressés,.... »