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lettres persane 24

Publié le 21/06/2021

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Montesquieu : « Lettre persanes » lettre 24 texte 1 Introduction Montesquieu (1689-1755) est un magistrat et écrivain français du 18 siècle. Il est l auteur de nombreux mémoire, romans parmi lesquels : les lettres persanes (1721),l’Esprit des loi. L’auteur fait partie des lumières. Les lettres persanes ont été publies anonymement. L’éditeur présente son livre comme un recueil de lettre fictives de persans qui l aurait recueilli chez lui. Cela permet d’éviter la censure. Les deux personnages principaux, Rica et Usbek, sont deux riches persans qui ont quitté Ispham pour rejoindre Paris. Ils écrivent beaucoup pour raconter ce qu’ils observent a leurs proches restes en perse. Ils observent les mœurs occidentales. Montesquieu va comparer deux mondes : l’orient et l’occident. Thème très rependu au 18 siècle. Ici il s’agit de la lettre 24. Dans cet extrait Uzbek et Rica découvrent la France, ils sont très étonnés. Cet étonnement est un moyen pour Montesquieu de souligner des aspects critiquables de la société : le mode de vie des parisiens, le pouvoir royal et du pape qui sont jugés excessifs. Mouvement : L1 a 11 présentation ironique du roi L12 a 15 pape L16 a 20 pouvoir de la religion pape sur la population critique Lecture de la lettre Problématique : comment le regard éloigne permet de critique le pouvoir(roi, pape) ? Analyse linaire Conclusion : Cette lettre 24 est représentative de toutes les lettres persanes car on y retrouve les 3 éléments de la démarche de Montesquieu : - L’étonnement qui fait percevoir les choses autrement, - La fiction orientale qui fait croire au lecteur qu’il s’agit d’une véritable correspondance entre les Persans pour protéger Montesquieu de la censure et introduire un regard extérieur sur la réalité européenne. - La critique de la société européenne au 18ème Siècle sur le mode de vie des Français, la politique, le pouvoir royal et la religion. Le recours à la fiction orientale permet de plaire au lecteur, de piquer son intérêt. C'est une méthode plaisante et efficace pour faire réfléchir à nos comportements, nos traditions, nos croyances, nos moeurs. Correspondent-ils à des vraies valeurs ou ne sont-ils que le fruit de la routine et de la soumission ? Montesquieu : « Lettres persanes » lettre 161 texte 3 Introduction Montesquieu (1689-1755) est un magistrat et écrivain français du 18 siècle. Il est l auteur de nombreux mémoire, romans parmi lesquels : les Lettres persanes (1721),l’Esprit des loi. L’auteur fait partie des lumières. Les lettres persanes ont été publies anonymement. L’éditeur présente son livre comme un recueil de lettre fictives de persans qui l aurait recueilli chez lui. Cela permet d’éviter la censure. Les deux personnages principaux, Rica et Usbek, sont deux riches persans qui ont quitté Ispham pour rejoindre Paris. Ils écrivent beaucoup pour raconter ce qu’ils observent a leurs proches restes en perse. Ils observent les mœurs occidentales. Montesquieu va comparer deux mondes : l’orient et l’occident. Thème très rependu au 18 siècle. Ici il s’agit de la lettre 161. Dernière lettre de l’œuvre, écrite par Roxane pour Usbek. Dans cette dernière Roxane va annoncer sa mort et critique Usbek sur la façon dont il la traite. Mouvement : L1 a L5 aveu L6 a L17 affirmation liberté L18 a L19 Accusation d’Usbek Problématique : Mouvement 1 Ligne grammaire interprétation Debut de la lettre -Nom propre -Prouve une lettre marque destinateur -Lieu date écriture L1 « oui,je t’ai trompe » L1 je Pronom personnel Rapide explicite elle dit se qui fait mal directement elle ne contourne pas L1 « trompé » « séduit » « jouée » Enumération verbe Champs lexical tromperie L1 a 2 « serail » « delices » « plaisirs » Champ lexical sensualité L1 affreux « délices et de plaisir » adjectif Antithèse Haine Mélioratif pour Roxane L 3 « je vais mourir » Futur proche Pas d’ambiguioute L3 « poison… veine » Description manière de mourir Mourir poison meurs Registre tragique L4 « ombre s’envole » « Sang » Avoue la tromperie mort de l’eunuque Mouvement 2 L7 caprice L7 désirs Antithèse Implicitement montre conquête de la liberté L10 « tu devrais », »je t’ai fait » Utilisation du conditionnel Pour mettre coup de pression L10 « grace », « sacrifice » Graduation grace a sacrifice Renforcement de l’opposition elle se sacrifie L13 « transports de l’amour » Elle veut le blesser Parle de l’eunuque elle aime Montre aime pas Usbek L13 « m’avais bien connu » Il sait trompe sur elle Elle le trompe vrai nature L16 « tu me ..je te trompais » chiasme Renvoie « m’avais connu » Avoue elle ne la jamais aimer L15 « longtemps… croire » adverbe Pour le faire souffrire Mouvement 3 L17 « accablé de douleurs » Thématique tragédie L18 « courage » L18 « le poison… m’abandonne » parallélisme Rythme ternes rythme tragédie L19 « je me meurs » Fin tragique rapide Assume sa mort peut être Conclusion : Dans cette dernière lettre, Roxane choisit la mort pour sa liberté. Elle préfère cette fin qu’être soumise. Et Usbek passe pour un tyran et il décivilise tout les choses qui critique enfaite il est pas mieux. Roxane est devenue ainsi la porte-parole de Montesquieu. Tout au long de l’œuvre, il a critiqué Paris et les femmes. Ici nous nous rendons compte que ce qui est passé pour une critique (parisienne) ne l’est pas. Il est pour la liberté des femmes. Montesquieu : « Lettres persanes » lettre 99 texte 2 Introduction Montesquieu (1689-1755) est un magistrat et écrivain français du 18 siècle. Il est l auteur de nombreux mémoire, romans parmi lesquels : les Lettres persanes (1721),l’Esprit des loi. L’auteur fait partie des lumières. Les lettres persanes ont été publies anonymement. L’éditeur présente son livre comme un recueil de lettre fictives de persans qui l aurait recueilli chez lui. Cela permet d’éviter la censure. Les deux personnages principaux, Rica et Usbek, sont deux riches persans qui ont quitté Ispham pour rejoindre Paris. Ils écrivent beaucoup pour raconter ce qu’ils observent a leurs proches restes en perse. Ils observent les mœurs occidentales. Montesquieu va comparer deux mondes : l’orient et l’occident. Thème très rependu au 18 siècle. Ici il s’agit de la lettre 99. Ecrite par rica a rhedi qui va decrit la mode en France et les mœurs des francais sur la mode. Lecture : Mouvement : L 1 a 9 francais esclave de la mode L10 a 28 des exemple cocasse L 29 a 34 absolutisme en question Problématique : Comme le caprice de la mode parvient a critique la société français et le pouvoir en place ? Lettre car date destinataire première personne Mouvement 1 L1 la mode Dès les premières lignes, le sujet est vivement lancé , repris par le vocabulaire de l’habillement (« habillés, habillement, parures ») : face à lui, Rica exprime son étonnement par les expressions « étonnants » et « on ne saurait croire » (qui trouvent un écho l. 20 : « qui pourrait le croire ? »). Ce qui cause cet étonnement ? Rica insiste sur l’extrême rapidité des renouvellements vestimentaires, présentée comme une forme de folie (parallélisme de phrases juxtaposées « oublié/ignorent ») puis comme une entreprise frénétique de « constructions/destructions » (le paragraphe 2 repose sur l’opposition entre « détruire » et « ouvrage/ouvriers ») qui bouleverse le « paysage » (voir l’hyperbole pleine d’esprit : « avant que tu eusses reçu ma lettre, tout serait changé »). Rica note aussi le coût (« coûte ») de ces fantaisies. Ce début comporte déjà des reproches implicites aux « Français » : la propension à des dépenses futiles, la soumission des « mari[s] » aux « caprices » de leur « femme » Mouvement 2 Dans les paragraphes suivants, Rica illustre cette folie de « changement » par des exemples : un portrait caricatural de « femme » et des gros plans sur des éléments d’habillement. Le texte fait sourire : les croquis caricaturaux (la femme « peinte », les dames tenues « en l’air » comme des oiseaux bizarres), les exagérations absurdes, la scène insolite que suscite le jeu possible sur « mouches » (éléments de maquillage et insectes) sont pleines d’humour. La surprise de Rica, déconcerté par ces bizarreries, ses mots impropres (« peintes, révolution, piédestal, tenait en l’air ») sont des éléments de fantaisie. Mais derrière ces croquis se cachent les critiques satiriques. La mode ôte aux gens leur identité, les rend méconnaissables (vocabulaire de l’étrange : « méconnaît, étranger, fantaisies »). En une durée relativement brève (« six mois »), elle propulse les êtres dans le temps, comme s’ils appartenaient à une époque ancienne (« antique »). Elle modifie nationalités et cultures : d’une Française policée, elle fait une « Américaine » (à prendre comme synonyme de « sauvage »). D’une femme vivante, elle fait un tableau (« peinte, peinture »). Elle détruit les liens les plus naturels : le « fils » ne reconnaît pas sa « mère ». Elle transforme aussi le corps. Montesquieu juxtapose de brefs croquis et joue sur les proportions et les précisions presque géométriques : « visage au milieu d’ellemême » (à cause de la « hauteur » des « coiffures »), pieds à la même « place » (à cause de la hauteur des « talons »), formes qui « montent » et « descend[ent ] ». Plus de « taille », plus de « dents » (« il n’en est pas question »). La mode bouleverse cocassement l’environnement : l’écho entre « montent/descendent » (pour les coiffures) et « hausser/baisser/élargir » pour les « portes » souligne cette emprise sur l’architecture, « art » ancestral qui implique harmonie et stabilité. Les verbes, très forts, « ont été obligés/exigeaient » et la métaphore « ont été asservies » assimilent la mode à un despote dont les « caprices » régentent le monde et sa culture. Mouvement 3 Le dernier paragraphe repose sur la comparaison (l. 29) qui assimile les « mœurs » à la mode, soutenue par des échos entre le vocabulaire et la syntaxe du paragraphe et du reste de la lettre : l’idée de changement est rendue par les verbes « changent », « rendre [grave] », « imprime… à » et par la métaphore du « moule qui donne la forme », qui rappellent « tout serait changé » et « changement » ; Rica procède avec la même juxtaposition sans lien des phrases qui se succèdent en cascade. Il opère ainsi un élargissement des « cibles » : le lecteur peut appliquer ce que Rica a dit de la mode à tous les domaines, notamment politique et social, avec la mention des charges d’État (« roi, monarque, Prince, souverain »), le mot « nation » et l’élargissement spatial (« Cour, Ville, provinces »). La succession hiérarchique en decrescendo et le rebondissement d’un palier à l’autre par un jeu de répétition (« Cour/Cour ; Ville/Ville, provinces ») donnent l’impression d’un élan irrésistible. Le paragraphe, par sa structure, souligne la passivité des Français (soumis sans esprit critique au pouvoir) et la facilité du « roi » à s’imposer. La fin condamne sans appel le pouvoir exorbitant du « souverain » et le déséquilibre entre lui (désigné par sa charge) et « les autres », qu’un pluriel collectif renvoie dans l’anonymat. Conclusion : a travers la critique de la mode montesqieu propose la critique u monde et de la société. Il va dénoncer le pouvoir du roi et la soumission du peule a se dernier. Le peuple a un comportement serviable qui traduit un manque d’indépendance de liberté. Cette critique est une vision des philosophe des lumières. CONCLUSION Montesquieu, grâce au regard étranger faussement naïf, allie fantaisie, humour et dénonciation sévère : la satire dépasse le phénomène de la mode, s’applique aux domaines politique et social et critique le roi lui-même. Chardortt Djavann : Introduction : Chardortt est une femme née en Iran en 1967. Elle a vécu la déportation durant le conflit de l’Azerbaïdjan contre URSS. Elle fuit en 1993 en France. Elle apprendra le français par les livres car sa famille est surveille et ne peut aller a l’école. Chardorrt Djavann publie son premier roman en 2003 qui se nomme « Comment peut-on être français ». Livre est inspire de sa vie. L’héroïne est une jeune fille qui fuit son pays. Le roman raconte le quotidien en France de Khan la jeune file. Elle fera plein d’allusion avec des auteurs et les mouvements littéraires durant tout le roman. Elle écrit des lettres a Montesquieu. La lettre étudie c’est la 8. Lecture Mouvement : L1 a 8 L9 a 23 L24 a 41 Problématique : comment l’auteur utilise la stratégie du « regard éloigne » pour proposer une réflexion ? Mouvement 1 Baudelaire : Une Charogne texte 1 Introduction : Charles pierre Baudelaire est un écrivain français né en 1821 et décédé en 1867 malade et miséreux. Il s’essaya a plusieurs métier comme poète, critique d’art, essayiste traducteur. Il fait partie du mouvement symbolisme et modernité poétique. Créé durant sa vie « Les Fleurs du Mal ». Au cœur du débat sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, le proclame tout entière destiné au Beau et non a la vérité ; Les titre de son recueil tisse des liens entre le mal et la beauté, le bonheur. Le poème une charogne est extrait du recueil Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire. Le poème fait partie de la section « spleen et idéal ». Dans ce poème, un couple en promenade tombe sur une charogne, qui devient le sujet du poème de Baudelaire. Lecture Mouvement : V1 a V36 la description du cadavre en décomposition, une peinture méliorative de l’horrible V37 a V48 comparaison a la femme aimée Problématique : Comment Baudelaire va faire l’elogue de la beaute d’un cadavre en decomposition ? -Titre « Une Charogne » indique va suivre : description cadavre en décomposition. Titre interpelé des le départ car c’est un sujet qui n’est pas traite en poésie. Choix thème novateur pour l’époque. L’horreur la laideur qui sont annoncé mais aussi la destruction causée par la fuite du temps. -Le poème est composé de dix quatrains avec des vers en alexandrins. Les rimes sont embrassées et on retrouve une alternance rimes féminine et masculine Mouvement 1 V1 « vous » V1 vime V7 « ouvrai t » Pronom deuxime pluriel Present simple imparfait Situation d’enonciation Poete s’adresse a une persoone marque de politesse S’agit de la femme aimée Evoquation souvenir temps du recit V1 « Mon ame » periphrase Designer la femme V2 « beau …doux » V3 « sentir » V9 « soleil rayonnait » Meliorative reprend element poetique commun romantique(eloge de la nature) V3 « charogne » Substantif Infame ame Adjectif qualificatif Rime avec Poete manier habile seme les graine ironie V5 une femme lubrique » Description charogne comparée femme V5 jambe V6 suant V8 « ventre personification Cadavre personification Model qui pose pour l’artiste V 5 Lubrique V6brulant V5 jambe en l’aire Connotation sexuelle V8 exhalaisons Parfum femme mais dimension negatif V16 « puanteur Femme dispare pour laisse plavce a la charogne Descrition précis qui intervient vue,touche,odorat V9 soleil Pourriture V10 cuire Anthitese comparaison 3 strophe conduit laideur Decomposition Thematique de la boue et l’or Ironique terem culinaire contradiction V11 nature Personnification Reprend son du Passage du temps (romantique theme) ephemere homme V9 rayonnait V12 avait imparfait Charogne genre pictural la nature morte ou la vanité grace a l’imparfait V13 carcase superbe oxymore Evoque l’horreur dans sa splandeur Piece maitresse de la toile V14 comme…s’epanouir » Comparaison Fleur titre de l’œuvre Cree antithese avec titre extraire la beauté du mal Mele des Sonorite dure en R Et en S entendre contraste Mouvement 2 V37 tiret Saut dixieme vers retour sur la femme aimée qui avait disparu S’adresse a elle V37 vous…semblable V37 pourtant adverbe Compar ouvertemet au cadavre Utilisation futur indicatif pour marque le changemet V37 cette ordure V38 cette horrible GN Insite laideur grace GN en employant demonstrative devant nom pour insiste vision macabre Conclusion : Ce poème qui sonne comme un momento mori montre tout le pouvoir de la poésie qui arrache les êtres et les choses au gouffre de la mort et a la réalité de la décomposition ; elle le fait par un processus très précis :le poète ne peut retenir du réel que des impressions morts, désignées ici par la figure du cadavre. Sa sensibilité, son génie consiste a les ressusciter sous une forme sublimée. L’artiste métamorphose la mort en vie. L’artiste, par son art, transforme le vulgaire, le banal, l’horreur en un chef d’œuvre, telle est la signification de la métaphore de l’alchimie dans l’œuvre de Baudelaire. Ce poème se montre tres novateur car les codes de la poésie traditionnelle (célébration beauté de la femme aimée éloge) sont complètement inverses ; il propose ainsi une réécriture de la poésie amoureuse.

« (l1)roi ..le plus puissant superlatif eloge L1 Il n’a point de mines d or « comme » le roi d espagne Une Comparaison ironique En realite la puissance est lie a l argent et non a la vanite des sujets L2 mais Conjonction de coordination Sert marque une pose Souligne grandeur du roi ironiquement L3 on Outil de generalite L4 titre honneur vendre Montre la puissance peut acheter une vertu L4 ses troups/ ses places / ses flottes enumeration Aspect solennel rythme ternaire L6 d ailleur Adverbe concession explication L6 GRANd magicien Vocabulaire du spectacle Charlatent trompe son peuple L6 exerce Present de l’indicatif Temps du discours Registre didactique (explication methodique) Manipulation comme un magisien L6 penser L8 Persuader L8 croient Verbe manipulation Analyse lineaire lettres 24 Ligne grammaire interprétation mouvement L12 « le prince » -Régression du statue du roi L12 « le deux point » -Explication qui va arriver L13 « le pape » -Designe la nouvelle cible de cette lettre -Blasphématoire envers le pape L14 « que le pain qu’on mange n’est pas du pain, ou que le vin qu’on boit n’est pas du vin » -Référence a ceci est ma chair ceci est mon sang -philosophe des lumiere peut avoir la foie mais pas obliger de prier Mouvement L18 constitution Ecrire italique pas pareil surligne Le pape éduque le roi comme un enfant Sous l ordre du pape L18 obliger L19 soumit Champs lexical soumission L19 « mais » Antithèse entre soumission et révolte L20 « rien croire » Marque de négation Symbole le roi et peuple obscurantisme opposition des lumieres Montesquieu : « Lettre persanes » lettre 24 texte 1 Introduction Montesquieu (1689-1755) est un magistrat et écrivain français du 18 siècle.

Il est l auteur de nombreux mémoire, romans parmi lesquels : les lettres persanes (1721),l’Esprit des loi.

L’auteur fait partie des lumières.

Les lettres persanes ont été publies anonymement.

L’éditeur présente son livre comme un recueil de lettre fictives de persans qui l aurait recueilli chez lui.

Cela permet. »

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