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Lettre XXIII

Publié le 23/05/2020

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« Les lettres persanes- Montesquieu Lettre LXII (23) – Uzbek à son ami Ibben, à Smyrne Le passage notre objet de lecture méthodique est une lettre extraite de l’œuvre épistolaire "les lettres persans" du grand écrivain et philosophe français Montesquieu né en 1689 et décédé en 1755, cette œuvre permet au lecteur de découvrir les lettres fictives échangées par des Persans qui entreprennent un long voyage vers l'Europe.

Notre analyse tournera essentiellement autour de l’étonnement d’Uzbek par le mode de vie des européens et plus précisément les habitants de Livourne .Dans un premier temps l’accent sera mis sur la vile de Livourne et la liberté qu’y jouissent les femmes en particulier, puis on parlera du regard d’un musulman au mode de vie des chrétiens à travers Uzbek.

Uzbek commence sa lettre par la description de la progression qu’a connue la ville de Livourne en utilisant une antithèse à l’intérieur d’un parallélisme « qui on fait d’un village marécageux la ville d’Italie la plus florissante » où la progression est marquée par cette opposition village/ville ainsi les adjectifs marécageux/florissante.

Puis Uzbek nous fait tourner le regard vers les femmes de cette ville, où elles jouissent d’une liberté qui n’est pas à la portée de celles d’Ispahan, par la présence d’une anaphore : « Elles peuvent voir les hommes……, elles peuvent sortir…..

» pour renforcer son idée.

Et pour mettre le lecteur devant la vraie image, Uzbek a cité pleins d’expressions qui désignent la liberté dans une comparaison implicite avec le mode de vie des femmes persanes : « voir les hommes », «sortir tous les jours », « elles n’ont qu’un voile » et « sans que le mari s’en formalise » et il ne suffit qu’une négation de ce qui est affirmatif ou l’inverse pour avoir une idée sur les femmes d’Ispahan.

En suite Uzbek élargit la marge de cette liberté en s’éloignant des plus proches des femmes : la maison, les vielles qui les accompagnent, à d’autres personnes plus loin, par une énumération sous forme de gradation ascendante « leurs beaux-frères, leurs oncles, leurs neveux peuvent les voir … » Après, pour nous montrer son étonnement par le mode de vie à Livourne, Uzbek fait appel à autant d’expressions « un grand spectacle », « je ne sais pas dire » ce qui est aussi mis en valeur dans un premier temps par une énumération « je ne parle pas des choses qui frappent d’abord tous les yeux comme la différence des édifices, des habits, des principales coutumes » puis par une. »

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