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lettre persanne

Publié le 22/05/2020

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« Lettres Persannes.

Texte 1. Né a la fin du 17ème siècle au château de la Brède, Montesquieu nous a laissé essentiellement deux œuvres : Lettre persanes et L'esprit des lois, les premières sont des romans épistolaire, le second est un ouvrage de réflexion sur le systèmes de gouvernement.

Les Lettre persanes s'inspirent de la vogue de l'orient à cette époque.

Les récit de voyage de tavernier, de Chardin, la première traduction de « Mille est une Nuits » et le roman de Marana L'espion turc on fournie a M la matière de son livre.

Deux perse, Rica et Usbeck visitent de la France entre 17711 et 1720 et découvre les parisiens, leurs mode de vie, leurs opinion politique et religieuse. Ainsi, par le regard des deux personnages, M dresse un portrait de société de son époque, tout en échappent a la censure.

La lettre qui suit est écrite par Rica et a pour sujet le pouvoir royal et religieux. I- Le regarde d'un étranger. 1) la relation épistolaire. Relation épistolaire → situation d'énonciation et une lettre avec lieu et date « à Paris », « le 4 de la lune de Rebial » et le présent d'énonciation et l'emploie de deux premiers personnages. 2) Un fiction à visée argumentative. Dispositif énonciation fictif → Rica narrateur personnage qui est décrit subjectivement.

M se cache derrière Rica. Lettre pas réel car elle propose une réflexion argumenté sur le pouvoir. Thèse ( pour gouverner les puissants se servent de leurs sujets ) 2 argument exemple : Le roi et le pape. Chacun illustré de plusieurs façon ( 4 §). 3) La naïveté du persan. Tonalité poétique à l'Orient « magiciens », « prodige », « trésor » → mille et une nuit. Étonnement de l'étranger « et je n'ai eu à peine que le temps de m'étonner » → porte un regard naïf sur le roi et le pape : « ils sont des magiciens qui se livrent à des tours de passe-passe » « On lui a vue entreprendre ou soutenir des guerre...et ses flottent équipées.

Énumération+ ellipse. « le pape quand à lui fait croire que 3 fond 1 ».

M veut montrer à travers c perso l'étrangeté de ces coutumes et que le lecteur s'en rend compte lui même.

Le regard étrange montre que coutumes = primitives contre esprit des lumière, la raison en avant de tout. II- Satire du pouvoir. 1) Le pouvoir royal. Critique d'un régime autocrate ( celui de louis 14) '' le rois de France est le puissant prince de l’Europe « Il ruine ses sujet en exercent politique guerrière « on lui a vue entreprendre...

a vendre » Critique aspect financier du roi car c le roi qui décide de la valeur de l'argent « s'il n'a plus qu'un écume dans son trésor, et qu'il en ait besoin de deux, il n'a qu'a leur persuader qu'un écus en vaut deux ». A la mort de louis, la France en faillite et le régent se retourne avec une France endetté → invention billet « il n'a qu'a...

est de l'argent » ( le système de law). 2) Le pouvoir papale. Le pape est pire car il est un magicien qui contrôle le roi et le peuple : « il y a un autre magicien plus fort que lui...» comparatif. → le pape contrôle le roi qui contrôle ses sujets.

Hiérarchie. → désacralisation du pape et des dogmes catholique de la Saint Trinité.

+ formule dépréciative « et mille autre chose de cette espèce...constitution » => allusion philosophe des lumières « Mais qlq'uns se révolte » Critique de l’influence de la religion sur le gouvernement et l’intolérance religieuse. 3) Crédulité du peuple. Verbes synonyme de « faire croire », et de « croire » comme persuader, mettre dans leur tête → ChampL de la croyance. Fonctionnement basé sur les croyance et non sur la raison.

La croyance est une connaissance du monde primitif.

M montre que la religion, la croyance de droit divin sont des croyances dépassés et montre la crédulité des gens n'est plus qu'un instrument de pouvoir.

Le roi et le pape savent ce qu'il font et exploitent la crédulité du peuple à des fins de pouvoir. Conclusion : Dans cette lettre, Rica sert de masque à M pour critiquer les abus du pouvoir royale et du pouvoir papal.

De plus, les mœurs françaises vues par un regard étrange apparaissent dans toute leur irrationalité qui prête a sourire. »

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