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Les vêtements sacrésPour officier au nom de Dieu, les célébrants doivent revêtir certainsornements.

Publié le 23/05/2020

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« Les vêtements sacrés Pour officier au nom de Dieu, les célébrants doivent revêtir certains ornements. Nous avons esquissé plus haut une comparaison entre la liturgie catholique et l’opéra : il nous faut ajouter qu’elle est encore pertinente à propos des costumes, puisque les célébrants se voient prescrire des vêtements particuliers pour procéder aux actes sacrés. Le livre de l’Apocalypse évoque souvent la liturgie céleste, où se retrouvent instruments, chants, processions et mouvements divers. Saint Jean voit “ une foule immense [...], debout devant le trône et devant l’Agneau, vêtus de robes blanches, des palmes à la main, criant d’une voix puissante : Le salut à notre Dieu qui siège sur le trône ainsi qu’à l’Agneau ! ” (Ap 7,9-10).

Ce vêtement blanc des élus, symbole de la pureté requise pour la rencontre avec Dieu, rappelle aussi l’habit des anges venus annoncer aux saintes femmes la Résurrection du Christ.

De même, les nouveaux baptisés reçoivent un vêtement blanc, signe de leur renaissance intérieure.

À la communion solennelle, les communiants portent une aube blanche, aussi le vêtement par excellence de tous les ministres dans les actes liturgiques, quelle que soit leur fonction ; d’autres s’y ajoutent pour ceux qui ont reçu le sacrement de l’ordre. Aube (du latin alba, “ blanche ”) : l’aube est donc une robe blanche à manches longues, qui couvre tout le corps et qu’on serre à la taille par un cordon.

Quand l’aube n’a pas de capuchon ou de col, on met d’abord un amict autour du cou.

Elle est le vêtement de base de tous ceux qui interviennent dans les cérémonies liturgiques : évêques, prêtres, diacres, acolytes (servants) et lecteurs.

Il arrive aussi que certains servants portent des surplis blancs sur une soutane rouge ou noire. Étole (du latin stola, “ longue robe ”, devenue au viiie siècle un vêtement liturgique) : c’est sur l’aube l’insigne vestimentaire minimal des ministres ordonnés.

Il s’agit d’une longue bande d’étoffe qui comporte deux pans égaux.

L’évêque et le prêtre la passent derrière le cou et laissent pendre parallèlement ses deux pans sur le devant.

Le diacre la porte en bandoulière à partir de l’épaule gauche ; un point de couture ou un n œ ud, situé vers le bas, lie les deux pans, de telle sorte que l’étole traverse en diagonale tout le corps devant et derrière, à la manière d’un baudrier.. »

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