Les usines de Verhaeren
Publié le 08/04/2021
Extrait du document
«
Les Usines Emile Verhaeren
Il parle d’un sujet moderne : des villes moderne.
Ce poème est écrit après la révolution
industrielle.
Modernité poétique par sa forme : vers libre car les mètres ne sont pas régulier exemple
« Plus loin, un vacarme tonnant de chocs, » il y a 11 vers tandis que le suivant « Monté de
l’ombre et s’érige par blocs » a 12 vers.
Parfois il y des rimes comme « minutieux et silencieux » = ils sont disposés de manière
traditionnelle.
Mais parfois ça ne rime pas du tout comme « Résine et grandies ».
C’est sujet moderne « les Usines ».
Le monde industriel= un monde nouveau.
Sorte de
cadence dans le poème comme le ferait les ouvriers ou les machines qui travaille dans les
usines ?
Site internet :
Correction :
Emile Verhaeren appartient au mouvement Parnasse = l’art pour l’art .
Sa
poésie est considérée comme visionnaire.
En 1893, il va s’intéresser aux
transformations de la révolution, industrielle sur le paysage : un côté du
nouveau monde et du vieux monde rural.
Ecrit 1 er
œuvre Hallucinées .
1895
écrit les villes tentaculaires.
Ces 2 œuvre qui marques une inspiration nouvelle
= l’expansion des mégalopoles et qui vit dedans : les usines, les ouvriers, les
foules.
Forme de lyrisme visionnaire qui montre une fois de l’avenir typique du
19éme s, une fois dans l’humain et dans la mécanisation.
Poésie qui est épique
et expressionniste : mouvement artistique et littéraire de la fin du 19éme s.
Expressionniste n’est pas une école : il n’a pas de chef de file.
L’idée est donc, à
travers des métaphores, des effets de rythmes d’exprimer quelque chose.
Il va s’inspirer de Whitman (poète américain du 19éme s).
180 vers libre mais malgré tout ils ont des rimes : suivie, croisée.
On a aussi
des mètres assez classiques comme les alexandrins et octosyllabes..
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