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Les principales maladiesaux XVIe et XVIIe sièclesAu début des temps modernes, les maladies les plus redoutables sont la peste etle typhus qui accompagnent famines etguerres.

Publié le 18/05/2020

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« 1 / 2 Les principales maladies aux XVIe et XVIIe siècles Au début des temps modernes, les mala­ dies les plus redoutables sont la peste et le typhus qui accompagnent famines et guerres.

Les maladies liées aux carences de l'alimentation sont très fréquentes.

Au XVIe siècle, apparaît la syphilis (vérole) qui terrifie les populations.

Peste, typhus et maladies alimentaires Les données que l'on possède sur les maladies d'autrefois sont fort imprécises car la médecine était alors une science empirique.

Ainsi qualifiait-on de fièvres la plupart des maladies : fièvres tierce, quarte, double-quarte ...

Cependant, il se dégage sans peine un ordre d'importance.

Au premier rang, la peste, le typhus et les autres maladies parasitaires.

Peste et typhus (fièvre pourpre) accompagnent généralement les famines et les guerres.

Les hommes de l'époque redoutent parti­ culièrement les vagabonds qui se dépla­ cent pendant les grandes crises et propa­ gent les maladies.

Quand l'épidémie est lancée, rien ne l'arrête.

Une ville pestifé­ rée est mise en quarantaine pour des mois.

Ses habitants sont interdits de séjour dans toutes les autres villes.

L'été, la malaria sévit dans les plaines méditerranéennes.

Importantes aussi, les maladies de ca­ rences alimentaires, appelées dysenteries, "flux de ventre".

On y retrouve le scorbut, courant chez les marins et les monta­ gnards, la maladie du pain, le mal des écrouelles (adénite scrofuleuse) qui peut devenir tuberculeux.

Le roi de France était supposé exercer un pouvoir miracu­ leux sur les écrouelles.

Lors des grandes fêtes, le roi touchait les écrouelles et pro­ nonçait une formule rituelle qui promettait la guérison.

Le mal de Naples Les maladies parasitaires et de carences étaient connues depuis le Moyen Age.

Au XVIe siècle, apparaît un fléau nouveau qui se diffuse de façon spectaculaire : la syphilis ou vérole, appelée alors mal de Naples.

Introduite par Christophe Colomb, puis apportée d'Italie en France par les soldats de François Jer et, dit-on, par le roi lui-même, la syphilis fut très virulente à ses débuts.

Ses victimes ne pouvaient dissimuler leur mal : elles étaient couvertes de plaies purulentes et de lésions ulcérées.

Dès 1550, la syphilis devint la préoccupation médicale majeure.

Les jeux clandestins de l'amour ne se pra­ tiquaient plus sans danger.

A partir de la fin du XVIIe siècle, la virulence du mal s'atténua.

La maladie du pain "Nos deux paroisses ont été fort incommodées par un brouillard qui fit le jour de l'Ascension qui a inforté sous les seigles et ceux qui en ont mangé du pain se sont trouvés ivres et perclus de leurs membres avec un tremblement continuel." 2 / 2. »

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