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Les Lumières en France / Montesquieu ; Vico

Publié le 10/06/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Les Lumières en France / Montesquieu ; Vico. Ce document contient 1500 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie. Charles de Montesquieu (1689-1755) est surtout connu pour avoir transposé 1 esprit des Lumières dans l'ordre social et dans son fondement, le droit. Les Lettres persanes (1721) dénoncent indirectement les travers de la société française de l'époque. Comme Voltaire, Montesquieu tient l'Angleterre pour une société exemplaire. Son œuvre principale, De l'Esprit des lois (1748) s'inspire largement des modèles anglais, dont ceux proposés par Locke. Le point de départ est la comparaison entre les conditions de base d'une société et son appareil juridique. Montesquieu part de l'idée de droit naturel. Il en résulte que le droit positif n'est pas institué pour endiguer un étal de nature belliqueux (contre Hobbes. Il existe plutôt des points de repère naturels, que Montesquieu désigne comme la nature des choses. De ceux-ci découle l'esprit des lois : « Divers facteurs déterminent les hommes [...] à partir desquels se forme un esprit général. » Ces facteurs sont les données naturelles : -Le territoire influe sur la constitution : un domaine géographiquement étendu incline à une constitution monarchique, un plus petit sera plus aisé à gagner pour la démocratie. -Le climat conduit, entre autres choses, à une plus grande constance de l'ordre établi dans les zones climatiques chaudes.

« Le! Lumiè res ED Fr1111tt n / Montesquieu ; Vico 131 Charles de Mootesquieu (1689- 1755) est sUl10llt -PouW>ir judiciaire, qui doit eire strictement connu pour avoir lnlllSp06é l'esprit des Lumières ~ de l' ex6cutif.

dans l'ordre social et dans son fondement, le droit.

Le libéralisme de MoNTl!SQuœu repose sur l 'idœ Les Lettres persanes ( 1721) dénoncent indirec- d'un équilibre cnln! les forces sociales.

La théorie temeot les travers de la soci~ française de delaséparationdespouvoirlestsonapportleplus l'époque.

C.Omme VOLTAIRE, MONTESQUIEU important à la philosophie politique.

tient 1' Aogletem pour une soc~ exemplaire.

Son œuvre principale, Der Esprit des lois (1748) s'inspire largement des modèles anglais, dont ceux~ par loclœ.

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Ces racteun sont les donn6es naturelles : -Le territcire influe sur la coostillltion : un domaine géographiquement étendu incline à une constitution monarchique, un plus petit sera plus aisé à gagner pour la démouati~.

-Le climat conduit, entre autres choses, à une plus grande constance de l'ordre établi dans les zones climatiques chaudes.

-S'y ajoulent des ~ sociaux et hi.~ comme la rtligion, les mmus , l'hlstairt, le type tl économie et surtout les maximes du gouvernement.

Pour autant, l'ensemble des facteurs et leur com­ binaison o' induisent pas de manière automatique ,et inexonble un modl:le politique obligé.

Ils défi­ nissent plutôt un cadre, à l'intmeur duquel :s'exmeot ensu ite la libem et le vouloir humains.

Si MONTESQUIEU compare si souvent la constiw­ tion d'une soc~ à une nmnique, c'est parce ,qu'il entend souligner la put de l'intervention propre à l'homme qui, usant des lois et données naturelles, résout avec une habileté plus ou moins gtaode le problffl!C des effets recherchés.

« La mécanique a bien des frottements, qui souvent changent les effets de la théorie ; la politique a aussi les siens.

• MOlffllSQUIEU distiogue trois romies d'Etat , qui obm!eot chacune à un principe : -le deSJ}. »

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