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Les Fleurs du Mal: transformer la laideur et la sottise en art (Baudelaire)

Publié le 08/05/2021

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« DISSERTATION : LES FLEURS DU MAL ROBALO ALEXIS 1G4 « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid.

», Théophile Gautier, Mademoiselle de Maupin, 1835. Charles Baudelaire est un poète français du XIXe siècle.

En juin 1857 il publie pour la première fois Les Fleurs du Mal , qui est un recueil de poésies, divisé en six sections, « Spleen et Idéal », « Tableaux parisiens », « Le Vin », « Les Fleurs du Mal », Révolte » et « La Mort » .

Ce recueil a été écrit sous l’influence de Théophile Gautier, les idées parnassiennes, qui est un mouvement poétique apparu en France au XIXe siècle.

Cette œuvre met en avant l’itinéraire de Baudelaire, le cheminement de son âme vivant une véritable descente aux enfers. On se demandera, ce jugement vous semble-t-il refléter les Fleurs du Mal ? On verra d’abord en quoi les Fleurs du Mal transforment la laideur et la sottise en art.

Puis nous verrons que la poésie du recueil ne se limite pas à cette alchimie.

On analyser enfin que, dans les Fleurs du Mal Charles Baudelaire est caractérisé comme un être à part voir supérieur. Dans certains poèmes Baudelaire a su transformer la laideur et la sottise en art.

« Alchimie de la douleur » fait partie de la section « Spleen et Idéal ». Dans ce poème l’auteur est comparable à un alchimiste car il est capable de transformer du plomb on or.

Dans le premier quatrain on peut remarquer que l’auteur tutoie son interlocuteur dans le but qu’il se sente plus immergé dans l’histoire, de plus il introduit le champ lexical de la mort « deuil », « Sépulture » et celui du désir, « ardeur » et « splendeur ».

Puis il prétend connaitre Hermès le fondateur de l’alchimie et des sciences occultes et se met sur le même piédestal que Midas, un roi transformant tout ce qu’il touche en or.

On peut voir qu’il transforme l’horreur en beauté, en prétendant pouvoir changer l’or en fer, et le paradis en enfer. « Remords posthume » fait partie lui aussi de la section « Spleen et Idéal ».

Dans ce poème Baudelaire a su transformer la mort en art.

Tout d’abord, il introduit un climat d’agonie mais tout en faisant apparaitre un coté érotique, « lorsque tu dormiras », « tombeau », « monument construit en marbre noir », « alcôve ».

Puis il décrit le corps de la femme de haut en bas de manière théâtrale, tout en racontant son agonie.. »

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