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Les enseignements de la cybernétique et la morale médicale

Publié le 06/07/2020

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« La plupart des chapitres de la cybernétique font réfléchir au parallélisme entre l'organisme humain et les machines supérieures. Or, dès l'instant où l'on a voulu suivre le processus physiologique d'un bout à l'autre pour en obtenir l'explication mécaniste, dès l'instant où l'on a admis le remplacement d'un organe malade par une machine artificielle, la bienfaisante sécurité s'est déchirée, laissant le médecin seul et sans garant. La nature n'est donc pas l'ultime modèle et recours, puisqu'un organe artificiel peut faire mieux qu'elle. Deux ordres d'idées ont contribué à la démoralisation du corps : a) Le doute technique: l'automatisation, puis l'automation nous ont habitués à l'idée que le corps humain, dans sa partie asservie 1, est une machine coûteuse, imperfectible et fragile. Considéré dans sa partie qui est une réalisation technique naturelle, l'homme est sans doute une machine inimitable puisque universelle, auto-entretenue, homéostatique, capable de se repro-. duire et de se dépanner, etc. Pourtant, pour la réalisation d'une seule tâche 1 * z 1 bien déterminée, il se trouvera toujours une machine plus robuste et moins ...»

« Les ensei gnements de la cybernétique et la morale médicale I.

La plupart des chapitres de la cybernétique font réfléchir au parallélisme entre l'organisme humain et les machines supérieures.

Or, dès l'instant où l'on a voulu suivre le processus physiologique d'un bout à l'autre pour en obtenir l'explication mécaniste, dès l'instant où l'on a admis le remplacement d'un organe malade par une machine artificielle, la bienfaisante sécurité s'est déchirée, laissant le médecin seul et sans garant. La nature n'est donc pas l'ultime modèle et recours, puisqu'un organe artificiel peut faire mieux qu'elle. Deux ordres d'idées ont contribué à la démoralisation du corps : a) Le doute technique: l'automatisation, puis l'automation nous ont habitués à l'idée que le corps humain, dans sa partie àsservie 1, est une machine coûteuse, imperfectible et fragile.

Considéré dans sa partie qui est une réali­ sation technique naturelle, l'homme est sans doute une machine inimitable puisque uni�+PQ+@@+ auto-entretenue, homéostatique, capable de se repro-. duire et de se dépanner, etc.

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